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ETRE FORT
C’est aimer quelqu’un en silence
Être fort,
C’est pardonner à quelqu’un qui ne mérite pas le pardon
Être fort,
C’est irradier de bonheur quand on est malheureux.
Être fort,
C’est attendre quand on ne croit plus en retour.
Être fort,
C’est rester calme dans les moments de désespoir.Être fort,
C’est montrer de la joie quand on n’en ressent pas.
Être fort,
C’est sourire quand on a envie de pleurer.
Être fort,
C’est rendre quelqu’un heureux quand on a le cœur en morceaux.
Être fort,
C’est se taire quand l’idéal serait de crier à tous son désespoir.
Être fort,
C’est consoler quand on a besoin de réconfort.
Être fort,
C’est avoir la foi même quand on ne croit pas…
MA PRIERE
Que Le Seigneur fasse de vous des hommes et des femmes forts en toute circonstance et en tout temps. Que le nom de ELOHIM notre ADONAI soit glorifié
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Où étiez-vous lorsque vous avez entendu les tragiques nouvelles des événements du 11 septembre ? J’étais en route pour la ville d’Abilene, au Texas, et peu de temps après avoir quitté mon domicile, je captais sur mon autoradio les premières nouvelles. Comme les heures s’écoulaient pendant mon long voyage, j’ai laissé ma radio allumée et j’ai entendu toute l’horreur des événements. Tout en conduisant et en regardant le ciel vide du Texas, l’idée me frappa que nous étions certainement à l’époque à laquelle le Christ faisait référence dans Matthieu 24, en disant que ce ne sera que « le commencement des douleurs ».
Dans les mois et les années à venir jusqu’au retour de Jésus-Christ, nous entendrons incontestablement, et peut-être même serons-nous individuellement témoins de nombreuses autres choses terribles. Les problèmes qui affectent notre nation et le monde entier ne concerneront pas seulement d’autres peuples et d’autres lieux. Chacun de nous sera touché de nombreuses manières. C’est la plus grande époque de troubles et de tension de toute l’Histoire, qui s’abat sur cette nation et sur le monde entier. En plus des grandes difficultés qui ont été prophétisées, nous affrontons tous de nombreux problèmes et épreuves dans notre vie. Il peut s’agir de difficultés familiales, d’ennuis professionnels ou financiers, ou de problèmes de santé – et nous éprouvons la tension et le stress qui en découlent. Les épreuves et les tests ne sont pas quelque chose que nous anticipons avec impatience, mais ce sont des choses que nous rencontrons tous.
Il y a quelques années, j’ai rendu visite à une dame hospitalisée suite à un grave accident de voiture. Elle souffrait de multiples fractures et elle était couchée dans un lit à traction. Il me sembla que les poulies et les câbles se mettaient à tourner à chaque mouvement. Comme je restais à son chevet pour lui donner du réconfort, je lui fis remarquer que personne n’était en mesure de choisir ses épreuves. « Non, déclara-t-elle, mais nous pouvons choisir la manière de réagir face à ces épreuves. Celles-ci peuvent nous rendre amers ou meilleurs. Je veux que les miennes me rendent meilleure ». Lorsque j’ai quitté sa chambre d’hôpital, j’avais le sentiment d’avoir appris quelque chose de beaucoup plus profond que tout ce que j’avais enseigné ce jour-là !
Pourquoi Dieu permet-Il que Son peuple ait des épreuves et des tests ? Y a-t-il un but précis aux épreuves et aux tests que nous rencontrons tous ? Y a-t-il une bonne et une mauvaise façon de les appréhender ?
Les mots grecs traduits en français par « tentation », « épreuve » ou « test » dans le Nouveau Testament ont tous une base commune. Ils sont dérivés de peirazo, qui signifie « tester », « essayer » ou « mettre à l’épreuve » ; et de peira, signifiant « tenter » ou « savoir par expérience ». Un autre mot, dokime, signifiant « tester l’authenticité de quelque chose » est également utilisé. On trouve ce dernier terme dans 1 Pierre 1 :7, où l’épreuve de notre foi est comparée à des essais de qualité et de pureté pour tester l’or.
L’Epître de Jacques nous dit que les épreuves (peirasmos, Jacques 1 :2) ont un but. Elles sont le moyen par lequel l’authenticité de notre foi est révélée (dokime, verset 3). Par ce moyen, le caractère s’affermit !
Il ne nous est pas seulement dit que nous passerons par de nombreuses épreuves durant cette vie, ce qui est le lot de tous les êtres humains, mais il nous est également donné un exemple à suivre pour les prendre en main. Il est assez difficile de maintenir une bonne attitude lorsque vous traversez des ennuis dont vous savez en être vous-même la cause. Mais qu’en est-il des choses qui sont manifestement injustes ? Humainement, nous nous irritons tous à l’idée de l’injustice. Nous voulons rendre la pareille et « égaliser le score ».
Notez ce que l’apôtre Pierre écrit : « Car c’est une grâce de supporter des afflictions par motif de conscience envers Dieu, quand on souffre injustement. En effet, quelle gloire y a-t-il à supporter de mauvais traitements pour avoir commis des fautes ? Mais si vous supportez la souffrance lorsque vous faites ce qui est bien, c’est une grâce devant Dieu. Et c’est à cela que vous avez été appelés, parce que Christ aussi a souffert pour vous, vous laissant un exemple, afin que vous suiviez ses traces, lui qui n’a point commis de péché, et dans la bouche duquel il ne s’est point trouvé de fraude ; lui qui, injurié, ne rendait point d’injures, maltraité, ne faisait point de menaces, mais s’en remettait à celui qui juge justement » (1 Pierre 2 :19-23). Le mot français « exemple », au verset 21, vient de upogrammos, qui signifie « une copie écrite ». C’était un terme utilisé pour un cahier d’écriture d’enfant. L’enfant, en copiant chaque profil de chaque lettre, apprenait à reproduire l’écriture du professeur. Le Christ doit être notre exemple. Nous devons chercher à reproduire, aussi fidèlement que possible, Son approche face aux difficultés de la vie.
Outre l’exemple personnel du Christ, Jacques 5 :9-10 cite les prophètes comme références de valeur, lorsque surgissent les épreuves. La plupart des prophètes de Dieu ont souffert à cause de leur foi sans faille. Le patriarche Job est spécialement cité, au verset 11, comme un exemple excellent de foi solide dans la manière dont il a surmonté de sévères épreuves. Le livre de Job est l’histoire d’un être humain normal, qui est assailli par le malheur et les souffrances. Cet article présentera sept leçons spécifiques sur la façon de réagir aux épreuves telle que révélée dans le livre de Job.
1 – Dieu sait
L’une des choses les plus accablantes, lors d’une sévère épreuve, peut être un sentiment de solitude. Nous souhaiterions avoir la certitude que Dieu le sait, car dans ce cas, Il ferait à coup sûr quelque chose à cet égard ! Dans Job 1, il nous est révélé les coulisses de certains événements dont Job était totalement inconscient.
Cependant, Dieu portait toute Son attention sur Job et sur l’attitude d’obéissance que celui-ci appliquait de tout son cœur. En fait, Dieu Lui-même attira l’attention de Satan sur Job. Le Christ rappela à Ses disciples, dans Luc 12 :6-7, que Dieu, qui prend soin même des moineaux, est de loin plus attentif à Ses propres enfants. Le Père est conscient jusqu’aux plus petits détails de tout ce qui nous concerne. Même les cheveux de notre tête sont comptés !
Lorsque nous sommes frappés par une tragédie personnelle, ou persécutés à cause de notre obéissance, nous pouvons être certains que Dieu en est au courant. Il est d’une importance vitale de garder cela à l’esprit, pour contrecarrer le sentiment d’isolement et de solitude qui, souvent, nous assaille en de telles circonstances. « Personne ne comprend ce que je suis en train de traverser », pensons-nous. Mais Jésus-Christ, Lui, comprend ! Nous avons un Souverain Sacrificateur qui a été tenté en toutes choses comme nous ; en conséquence, Il est capable d’agir et de nous secourir dans tous nos besoins (Hébreux 4 :15-16).
Bien que Job n’avait pas la moindre idée de la raison pour laquelle tous ces malheurs s’abattaient sur lui, il savait que Dieu en avait conscience. Il n’a pas réagi, comme Satan l’avait prédit, en maudissant Dieu. Au contraire, il répondit à sa femme : « Quoi ! nous recevons de Dieu le bien, et nous ne recevrions par aussi le mal ! » (Job 2 :10).
2 – Dieu fixe les limites de l’épreuve
Le récit qui nous est rapporté aux chapitres 1 et 2 nous met au courant d’une conversation réelle entre Dieu et Satan ! Au début du récit du livre de Job, nous découvrons que, lorsque Dieu permit à Satan d’affliger Job, Il fixa les limites au-delà desquelles le diable ne pouvait pas aller. Dès le début, nous apprenons qu’il y avait des limites à l’épreuve de Job, et nous apprenons également qu’elles étaient ces limites. Au départ, Dieu restreignit à Satan de nuire à la santé de Job. Plus tard, Il permit que Job fût personnellement frappé, mais Il exigea que la vie de ce dernier fût épargnée. En tout cela, nous avons un avantage sur Job. Lorsqu’il était dans l’adversité, il ne savait rien de la conversation qu’il y avait eue entre Dieu et Satan. Job n’avait aucune connaissance des limites que Dieu avait fixées pour son épreuve.
Lorsque nous nous trouvons nous-mêmes au milieu d’une grande adversité, nous devons toujours garder à l’esprit qu’il pourrait y avoir eu une discussion similaire « en coulisse », à notre sujet. Dieu a établi les limites de notre épreuve ; il nous manque juste de savoir quelles sont ces limites !
Ce qui forme notre expérience de chrétien n’est généralement pas le temps et la chance. Le diable ne peut espérer que Dieu nous tourne le dos. Dieu veille à chaque test auquel nous sommes soumis, et Il a préétabli les limites au-delà desquelles Satan ne peut pas aller. Ni la durée, ni l’intensité d’une épreuve ne sont complètement sans fin. C’est Dieu qui, en fin de compte, reste le Maître !
3 – Chercher la croissance, et non la justification
C’est peut-être l’une des leçons les plus difficiles à retenir. Job voulait que Dieu le justifie aux yeux de ses amis. Les gens se moquaient de lui (Job 30 :1, 9), ce qui est dur à accepter. Lorsque Elihu commença à répondre à Job, en plaidant pour Dieu dans les chapitres 32 à 37, il fit remarquer que Job avait été mal perçu durant son épreuve. Dans Job 33 :12-22, Elihu explique que Dieu enseigne et châtie de multiples façons. Dieu a Ses raisons sur la manière dont Il nous traite, et parfois ces raisons dépassent notre compréhension.
Job était tellement persuadé de son innocence et de l’injustice de ses afflictions, qu’il fut longtemps incapable de voir au-delà. Il essaya de se défendre lui-même des fausses conclusions exprimées par ses amis ; ce faisant, il était incapable de voir les aspects de sa vie qui avaient un besoin de croissance.
A nouveau, Dieu a Ses raisons pour permettre ce qui arrive – quoique nous ne soyons souvent pas capables de les sonder. Dans nos épreuves et nos tests, Jacques nous encourage à demander à Dieu la sagesse (Jacques 1 :5). Si nous agissons avec foi, Il nous donnera à coup sûr la sagesse. Quels que soient l’épreuve ou le test, il y a toujours une croissance à en retirer. Jésus-Christ Lui-même a appris par les choses qu’Il a souffertes (Hébreux 5 :8). Dieu nous demande de croître. Cependant, nous devons subir « une taille périodique », qui stimule la croissance (Jean 15 :2).
4 – Le “pourquoi” est souvent insaisissable
Humainement, nous aimons que chaque chose soit soigneusement classée et étiquetée. Nous voulons donner un sens au monde et aux événements qui se déroulent. Mais en essayant de trouver une explication à tout, nous manquons parfois le point essentiel. C’est ainsi qu’agirent les amis de Job.
Le premier des amis de Job qui parla fut Eliphaz. Il déclara : « Cherche dans ton souvenir : quel est l’innocent qui a péri ? Quels sont les justes qui ont été exterminés ? Pour moi, je l’ai vu, ceux qui labourent l’iniquité et qui sèment l’injustice en moissonnent les fruits » (Job 4 :7-8). Eliphaz, Bildad et Sophar, les trois amis de Job, étaient tous persuadés que l’origine de ses nouveaux tourments se trouvait dans une mauvaise action secrète de Job. Ils « savaient » qu’il devait y avoir une raison. Aussi, importunaient-ils le pauvre Job à avouer ce péché secret.
Job savait qu’il n’y avait pas de grand scandale caché dans sa vie, pouvant engendrer ses épreuves. Il se défendait face à ses accusateurs, mais il se demandait aussi : « Pourquoi ? » Il nous est difficile d’accepter que, bon nombre de nos souffrances ne peuvent être clairement expliquées. Le pourquoi est souvent insaisissable. Les mauvaises choses n’arrivent pas seulement aux mauvaises personnes. Job reconnaissait que, bien des fois, les méchants vivent à un âge avancé et même semblent prospères (Job 21 :7-13).
Il y a beaucoup de pourquoi auxquels nous n’aurons jamais de réponse, au cours de cette vie. Le fait d’accepter que le « pourquoi » puisse rester insaisissable nous amène à la cinquième leçon vitale, qui est contenue dans le livre de Job.
5 – L’espoir face à l’angoisse
Job était au désespoir. Sa vie entière avait été bouleversée. Il avait perdu ses richesses, et tous ceux qu’il aimait, dans une série de catastrophes soudaines. Mainte- nant, sa santé s’en allait aussi. Pourquoi ? Job était profondément frustré parce ce qu’il n’arrivait pas à comprendre le sens de ses épreuves. Et pourtant, du fond de sa perplexité et de son désespoir, il fit l’une des plus profondes professions de foi relatée dans la Bible : « Voici, quand même il me tuerait, je ne cesserais d’espérer en lui » (Job 13 :15).
Dans Job 19, nous lisons les paroles d’angoisse qui sortirent de ses lèvres : « Sachez alors que c’est Dieu qui me poursuit, et qui m’enveloppe de son filet […] Il m’a fermé toute issue, et je ne puis passer […] Je suis abandonné de mes proches, je suis oublié de mes intimes […] Mon humeur est à charge à ma femme, et ma plainte aux fils de mes entrailles » (versets 6, 8, 14, 17). Néanmoins, même à ce stade d’angoisse et de confusion, Job déclara son espérance confiante en Dieu : « Mais je sais que mon rédempteur est vivant, et qu’il se lèvera le dernier sur la terre […] moi-même je contemplerai Dieu. Je le verrai, et il me sera favorable ; mes yeux le verront, et non ceux d’un autre » (versets 25-27).
Job comprenait la vérité au sujet de la résurrection : « Si l’homme une fois mort pouvait revivre », demandait-il. Puis, il reprend sous l’inspiration divine : « J’aurais de l’espoir tout le temps de mes souffrances, jusqu’à ce que mon état vienne à changer » (Job 14 :14). Job savait que Dieu appellerait, et que lui-même répondrait et sortirait de la tombe, parce que Dieu languirait après l’ouvrage de Ses mains (verset 15).
Il est relativement facile d’avoir confiance en Dieu lorsque tout va comme nous le souhaitons. Lorsque nous comprenons le monde qui nous entoure, il est assez facile de croire que Dieu est en charge. Mais qu’arrive-t-il lorsque les choses vont sens dessus dessous, et qu’elles n’ont plus de sens du tout ? C’est au centre d’une telle perplexité, et d’une telle angoisse, que la foi en Dieu est indispensable.
Satan n’a jamais compris la motivation de Job. Il pensait que Job servait Dieu tout simplement parce que c’était son avantage, ici et maintenant. Satan était convaincu que si Dieu retirait à Job Ses bénédictions et Sa protection, celui-ci Le maudirait et L’insulterait. Mais ce n’était pas le cas. Job aimait Dieu et Le servait avec une entière dévotion. Il avait confiance en Dieu, même quand il se sentait abandonné. Cette leçon deconfiance inébranlable est l’un des plus importants aspects de caractère que nous pouvons obtenir d’une épreuve.
6– A la fin, Dieu rétribuera le bon et le méchant
La vie peut souvent paraître injuste. Il y a ceux qui ne se préoccupent pas de servir Dieu, et qui semblent prospérer. Il y a aussi ceux qui essayent de le faire sincèrement, mais qui rencontrent de nombreuses difficultés et des revers. Nous devons garder à l’esprit que cette vie est temporaire.
Job remarquait qu’il y avait des méchants pour qui « dans leurs maisons règne la paix, sans mélange de crainte ; la verge de Dieu ne vient pas les frapper. Leurs taureaux sont vigoureux et féconds, leurs génisses conçoivent et n’avortent point » (Job 21 :9-10). Il réalisait en plus que l’histoire ne finissait pas là. Au verset 30 du même chapitre, il dit : « Au jour du malheur, le méchant est épargné ; au jour de la colère, il échappe. » Même s’il nous semble que la vie n’est pas belle, sachez que Dieu est toujours un Dieu de justice.
A la fin, c’est à la résurrection que Dieu récompensera les justes et qu’Il punira les méchants. Cependant, en maintes reprises – même dans cette vie – des événements peuvent virer soudainement. La conclusion du livre de Job révèle que, « pendant ses dernières années, Job reçut de l’Eternel plus de bénédictions qu’il n’en avait reçu dans les premières » (Job 42 :12). Sur la longue route, il y a des bénédictions pour l’obéissance – la plus grande d’entre toutes étant l’entrée dans le Royaume de Dieu. Mais des malédictions pour la désobéissance.
7 – Nous sortons de notre épreuve lorsque
nous avons appris les leçons que Dieu nous enseigneDe nombreuses écoles dispensent un diplôme à leurs étudiants au regard de ce qu’ils ont appris. Mais Dieu n’opère pas ainsi ! Il est le grand Enseignant qui nous prépare pour jouer un rôle dans Son Royaume, et Il insiste pour que nous apprenions nos leçons de la bonne façon. Ce ne fut que lorsque Job vint à adhérer aux leçons que Dieu souhaitait lui inculquer, qu’il commença à émerger de ses grandes épreuves.
Dieu vise le trait final. Il cherche à ce que nous devenions comme Lui ! Job était un homme exemplaire, mais il avait un grand défaut. Les Ecritures disent que le problème de Job consistait à être « juste à ses propres yeux », et « qu’il se justifiait lui-même plutôt que Dieu » (Job 32 :1-2, version Darby, 1991). En fin de compte, Job émergea par une compréhension plus profonde du Tout-Puissant, ainsi que de lui-même et de sa propre nature humaine : « C’est pourquoi je me condamne et je me repens sur la poussière et sur la cendre », dit-il à Dieu (Job 42 :6).
Il est une leçon essentielle que chacun doit apprendre pour plaire à Dieu et pour commencer à sortir d’une épreuve : elle consiste à rendre grâces et à pardonner. Les amis de Job furent des soutiens misérables. Sans le vouloir, ils avaient une grande part dans son épreuve. Notez cependant le point charnière, lorsque Job commença à sortir de sa grande adversité : « L’Eternel rétablit Job dans son état premier, quand Job eut prié pour ses amis » (verset 10).
Job en vint à vraiment connaître Dieu, non pas seulement à Le connaître à peu près. Il devint de loin un homme plus humble et plus compatissant, grâce à ce qu’il avait traversé. L’apprentissage dans ces leçons fut la clé de son émergence hors de la profonde obscurité de la vie, pour se diriger à nouveau vers la lumière.
Les épreuves peuvent nous rendre amers ou meilleurs ! Comment les vôtres vous rendront-elles ?
http://www.mondedemain.org/articles/epreuves-et-tests-les-sept-lecons-du-livre-de-job-f092
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« Ils amèneront tous vos frères du milieu de toutes les
nations, en offrande à hvhy l’Adonaï, sur des
chevaux, des chars et des litières, sur des mulets et des dromadaires, à ma montagne sainte, àJérusalem, dit hvhy l’Adonaï, comme les enfants d’Israël apportent leur offrande, dans un vase pur, à la
maison de hvhy l’Adonaï. Et je prendrai aussi parmi eux des sacrificateurs, des Lévites, dit hvhy
l’Adonaï. car, comme les nouveaux cieux et la nouvelle terre que je vais créer subsisteront devant
moi, dit hvhy l’Adonaï, ainsi subsisteront votre postérité et votre nom. A chaque nouvelle lune et à
chaque Shabbat, toute chair viendra m’adorer, dit hvhy l’Adonaï. et quand on sortira, on verra les
cadavres des hommes qui se sont rebellés contre moi ; car leur ver ne mourra point, et leur feu ne
s’éteindra point ; et ils seront pour toute chair un objet d’horreur. »
Isaïe 66:20-24
« J’accorderai à mes deux témoins le don de prophétiser, revêtus de sacs, pendant
mille deux cent soixante jours. »
« Ce sont là les deux chandeliers qui se tiennent devant le Seigneur de la Terre. »
Apocalypse 11 : 3-4
Le Shabbat de D.ieu ou le dimanche des hommes
Observer le Shabbat, du vendredi soir au samedi soir, c'est se souvenir de la consécration accordée
par D.ieu au septième jour de la Création, afin d'honorer son achèvement selon Genèse 2:1-2 :
« Ainsi furent achevés les cieux et la terre, et toute leur armée. D.ieu acheva au septième jour son
œuvre qu'il avait faite ; et il se reposa au septième jour de toute son œuvre qu'il avait faite »
et il convient de le célébrer en obéissance du 4ème commandement d'Exode 20:8 : « Souviens-toi du
jour du repos pour le sanctifier (le mettre à part) ».
La chrétienté moyenâgeuse et moderne s'est approprié « le Fils de D.ieu » en l'occidentalisant. Pour
se libérer un peu plus de la judaïcité de l'Agneau, les hommes institutionnalisèrent le fait religieux
dans une langue, le latin, rompant avec l'araméen et l'hébreu. Ainsi on isolait Israël, peuple, nation et
terre en une sorte de purification ethnique spirituelle afin de se séparer du peuple déicide. Il ne restait
plus qu'à assimiler les Saintes Convocations de hvhy l'Adonaï aux fêtes païennes. Aussi, le Shabbat fitil les frais de l'œuvre destructrice de cette pensée religieuse, dogmatique et doctrinale.
Les disciples, les apôtres et les premiers chrétiens respectèrent le « repos » du septième jour. Paul,
jeune converti aurait pu s'affranchir du lien religieux et déroger au 4ème commandement ; tout au
contraire, il nous est dit qu'à Antioche, les chefs de la synagogue lui demandèrent d'exhorter le
peuple, à tel escient, que
« Lorsqu’ils sortirent, on les pria de parler le Shabbat suivant sur les mêmes choses et le Shabbat
suivant, presque toute la ville se rassembla pour entendre la Parole de D.ieu. » (Actes 15:19-21).
Le Concile de Jérusalem eut à débattre de la conversion des païens le jour du Shabbat qui ne fut pas
remis en cause. Jacques le confirme en Actes 15:19-21 :
« C'est pourquoi qu'on ne crée pas des difficultés à ceux des païens qui se convertissent à D.ieu,
mais qu'on leur écrive de s'abstenir des souillures des idoles, de l'impudicité, des animaux étouffés et
du sang. Car, depuis bien des générations, Moïse a dans chaque ville des gens qui le prêchent, puisqu'on le lit tous les jours de Shabbat dans les synagogues. »
A Philippes, Paul est témoin d'un baptême le jour du Shabbat alors qu'il cherchait un lieu de prière
(Actes16:13-15).
C'est à Corinthe que « Paul discourait dans la synagogue chaque Shabbat et il persuadait des Juifs
et des Grecs. » (Actes 18:4).
alors, pourquoi honorons-nous D.ieu le dimanche ?
L'Empereur romain Constantin, fervent adepte de Mithra (dieu solaire de Perse), l'honorait le dimanche. A noter que sa fête, le 25 décembre, est à l'origine de Noël.
En 313, ce même empereur impose, par l'Édit de Milan, le christianisme comme religion d'État. Fidèle
à sa pratique païenne, il promulgue en 321 la première loi civile qui contraint le peuple à observer le
dimanche. Cinq autres lois seront émises qui, aujourd'hui, sont toujours d'actualité.
En 363, le Concile de Laodicée institue officiellement le dimanche en ces termes (canon 29) : « les
chrétiens ne doivent pas se comporter comme des Juifs en chômant le jour du Shabbat, mais ils doivent travailler ce jour-là pour témoigner au dimanche le respect qui lui est dû. Mais si l'on établit qu'ils
se comportent comme des Juifs, qu'ils soient anathèmes auprès du Christ. »
Luther préconisa l'observance du Shabbat du septième jour, mais ses proches lui dirent qu'un tel retour aux sources serait impopulaire pour les adeptes de la Réforme.
Motiver le choix du dimanche par la résurrection de Christ, c'est s'opposer au 4ème commandement
comme le ratifia le Concile Vatican II (1962) en ces termes 4
« Selon la tradition apostolique, dont l'origine remonte jusqu'au jour même de la résurrection du Christ, c'est s'opposer au 4ème commandement
comme le ratifia le Concile Vatican II (1962) en ces termes
« Selon la tradition apostolique, dont l'origine remonte jusqu'au jour même de la résurrection du Christ,
l'église célèbre le mystère pascal chaque 8ème jour, qui est nommé à juste titre – jour du Seigneur –
ou jour dominical. »
Traditions, coutumes et lois ont eu raison du 4ème commandement qui nous appartient aussi, car
nous sommes entés sur l'olivier franc d'Israël. Pour chaque jour de la Création « il y eut un soir, il y eu
un matin et D.ieu bénit le septième jour, et il le sanctifia parce qu'en ce jour il se reposa de toute son
œuvre qu'il avait créée en la faisant. » (Genèse 2:3)
Shabbat jour de hwhy ton D.ieu
Un phénomène de
notre Histoire
Depuis 1948 date de la ré-
surrection de l’État d’Israël,
nous avons conscience de
vivre une époque de réactivation prophétique. Cette
époque s’accompagne
d’évènements de plus en
plus précipités et concourants aux temps précédant
l’instauration du Royaume
messianique sur terre.
Israël en tant que nation est
à nouveau entré dans son
Histoire, il n’est donc pas
étonnant que certains
« signes » de rétablissement, non pas de l’État mais
du futur Royaume d’Israël,
surgissent ou resurgissent
après des siècles d’oubli …
Ce qui peut paraître paradoxal ou archaïque, c’est
que certains de ces signes,
admis comme spécifiquement juifs, font une apparition remarquée dans le
monde dit « chrétien ».
Le Shabbat est un de ces
signes. Phénomène de nos
années pré messianiques, il
se relève de dix sept siècles
d’oubli savamment entretenu
par les églises détentrices
du dogme du remplacement.
Il se dresse dorénavant
comme une question embarrassante, parfois irritante,
interpellant la réflexion de
nombreux « chrétiens ».
Vives controverses
Que l’on soit d’accord ou
que l’on s’y oppose, c’est un
fait : le monde néo-chrétien
est troublé par le sujet. Il
suffit de s’informer sur Internet pour être convaincu du
débat exacerbé qu’il génère
et s’étonner des véhé-
mences et violences prononcées par des « frères » à
l’encontre du Shabbat et de
ceux qui l’observent. Une
telle réaction recèlerait-t-elle
l’expression d’une peur inconsciente ? Peur d’avoir
tort d’affirmer depuis des
siècles que le Shabbat et
d’autres préceptes divins
seraient caducs, et anathèmes ceux qui les respectent ? Peur de devoir réviser
la question jusqu’alors per-
çue à travers une incertaine
théologie paganochrétienne, et ainsi d’en dé-
couvrir les erreurs ? Peur in
fine, du déclin inéluctable
d’une idéologie paganogréco-latine négatrice
d’Israël et usurpatrice de ses
promesses et de sa fonction.
Exception faite d’intérêts ou
d’objectifs clairement divergents de la vérité, lorsqu’un
désaccord apparaît entre
frères attachés à la vérité,
nous pouvons penser que
tout en évoquant apparemment un même sujet, chacun
en possède une représentation différente. Alors, lorsque
nous parlons de Shabbat, de
quoi parlons-nous ? Évoquons-nous la même chose,
avec les mêmes mots, avec
les mêmes définitions, ou
sommes-nous sur des registres différents ?
De quoi parle-t-on ?
Un mode de réflexion.
Il convient d’abord de se
poser la question : qu’est-ce
que le Shabbat dans la révé-
lation divine, en expurgeant
nos croyances innées sur le
sujet, et jamais véritablement réfléchies. Faisons
donc table rase de nos « vé-
rités non vérifiées » et de
nos systématiques controverses rabâchées, enseignées et acceptées sans
critique.
Puis posons honnêtement la
question qui « brule la
langue » : qu’a voulu dire
Paul – le seul Paul – dans
quelques versets qui semblent en première lecture
abroger l’observance du
Shabbat, versets d’évidence
non cohérents
1
avec
d’autres versets et actes du
même Paul et opposés aux
Paroles mêmes et actes du
Seigneur Yéshoua ?
Enfin, gardons en pensée
que la Parole écrite, dans la
langue originelle, qui va de
Genèse à Apocalypse, est
inspirée du Père, chez Qui il
1
Ce qui est évidemment problématique, car il nous faut considérer les
traductions parfois ambiguës ou
tendancieuses des livres de la
Nouvelle Alliance.
n’y a aucune ombre de variation, IL EST « Ehad » -
UN, complet, entier- Le
Même hier, aujourd’hui et
demain, Il ne revient pas sur
Sa Parole qui est oui et
amen. La Parole est aussi
une et homogène, elle ne
peut en somme se contredire. Si certains passages
s’avèrent paradoxaux, nous
avons tout lieu de penser
que quelque élément nous
échappe, ou que la version
des textes à priori discordants mériterait une traduction plus approfondie, plus
circonstanciée.
La dimension du
Shabbat
Dès la Genèse, le Shabbat
s’impose : les six jours de la
création, incluant l’apparition
de l’homme, ont pour apothéose le Shabbat, septième
Jour, Jour de hvhy ton Élohim, qui n’est autre que le
Royaume messianique proposé à l’humanité.
« Ils sont achevés, les ciels,
la terre, et toute leur milice.
Élohim achève au jour septième son ouvrage qu’il avait
fait. Il chôme, le jour septième, de tout son ouvrage
qu’il avait fait. Élohim bénit
le jour septième IL le consacre : oui, en lui il chôme
de tout son ouvrage
qu’Élohim crée pour faire. »
(Genèse 2 : 1-3 Chouraqui)
Shabbat est le grand dessein du Père pour la pré-
sente création. Le Shabbat
est donc posé dès les premiers chapitres de notre
Bible comme sens et dynamique de la volonté divine
qui trouve sa réalisation en
Apocalypse dans la « réparation » du repos millénaire
du Royaume
2
géré par
Israël.
C’est d’abord cela le
Shabbat, le renier ou
l’ignorer ou en modifier
l’époque, c’est aussi le refuser ; mais le comprendre, le
saluer, et en témoigner c’est
le souhaiter et faire preuve
d’adhésion au projet divin.
Pourquoi le souhaiter ? Simplement, parce qu’il est encore inaccompli, il est encore à venir, car le Royaume
ne se situe pas que dans les
cœurs. Notre Élohim est-IL
le Créateur qui ne règne que
dans les cœurs ? Non, IL
règne dans tous les domaines du créé et de
l’incréé.
Cette vision et cette définition du Shabbat se distinguent nettement du seul
« rite hebdomadaire » taxé
de « retour à
l’obscurantisme judaïque».
Ce retour à l’obscurantisme
judaïque est repris sous
forme de réquisitoire par
d’honnêtes opposants chré-
tiens, pour qui la dimension
du sujet reste voilée, bien
que la relation entre Shabbat
et Royaume soit très claire.
Le Shabbat fait pour
l’homme est le projet divin.
La nécessité et l’urgence du
Shabbat se justifient donc
d’elles-mêmes. Et compte
tenu de son importance,
nous comprenons pourquoi
hvhy notre D.ieu inscrit à
deux reprises, de SON
DOIGT sur la pierre
3
, le
commandement du souvenir
du Shabbat au même titre
2
Apocalypse 20 : 6
3
Exode 32 : 15-16 Exode 34 : 1 et
28-29
que les neuf autres Paroles
du Décalogue, car « Je
SUIS hvhy ton Élohim qui te
fais sortir du pays de
l’angoisse (Mitsraïm Égypte)
pour … te mener au
Royaume de Mon Shabbat ».
Par ailleurs Isaïe nous atteste que le Shabbat est fait
pour l’humanité. Ainsi il n’est
pas une invitation au seul
endroit des Israélites de religion synagogale, mais à
tous les fils d’Adam, à tous
les étrangers, qui sont enfants de D.ieu.
« Ainsi parle Adonaï hvhy :
Observez ce qui est droit, et
pratiquez ce qui est juste ;
car mon salut ne tardera pas
à venir, et ma justice à se
manifester. Heureux
l’homme qui fait cela, et le
fils d’Adam qui y demeure
ferme, gardant le Shabbat,
pour ne point le profaner,
et veillant sur sa main,
pour ne commettre aucun
mal ! Que l’étranger qui
s’attache à Adonaï hvhy ne
dise pas : Adonaï hvhy me
séparera de son peuple ! Et
que l’eunuque ne dise pas :
Voici, je suis un arbre sec !
Car ainsi parle Adonaï hvhy :
aux eunuques qui garderont mes Shabbats, qui
choisiront ce qui m’est
agréable, et qui persévéreront dans mon alliance, Je
donnerai dans ma maison et
dans mes murs une place et
un nom préférables à des fils
et à des filles ; Je leur donnerai un nom éternel, qui ne
périra pas. Et les étrangers
qui s’attacheront à Adonaï
hvhy pour le servir, pour
aimer le nom de Adonaï
hvhy, pour être ses serviteurs, tous ceux qui garde-ront le Shabbat, pour ne
point le profaner, et qui
persévéreront dans mon
alliance, Je les amènerai
sur ma montagne sainte, et
je les réjouirai dans ma maison de prière ; leurs holocaustes et leurs sacrifices
seront agréés sur mon autel ; car ma maison sera appelée une maison de prière
pour tous les peuples. Adonaï hvhy, parle, Lui qui rassemble les exilés d’Israël :
Je réunirai d’autres peuples
à lui, aux siens déjà rassemblés.” (Isaïe 56:1-8
Nouvelle Edition Genève).
Si aujourd’hui plusieurs
s’autorisent à penser et à
enseigner que les « chré-
tiens » n’ont pas à tenir
compte de toutes les Paroles du Décalogue (les
10 commandements), cela
n’engage qu’eux-mêmes.
Car, de quel droit l’homme
peut-il se permettre
d’effacer ou de tenir pour
nulle et non avenue, UNE
SEULE LETTRE ECRITE
DU DOIGT DE D.IEU ?
Mimétisme ou
révélation
Adopter le rituel du Shabbat
en imitant la Synagogue, ou
redécouvrir le Shabbat à la
lumière de la Nouvelle Alliance sous la bannière de
Yéshoua le Seigneur du
Shabbat sont deux aspects
du témoignage du Shabbat.
Est-il nécessaire de préciser
que les « disciples de Yéshoua » (ceux de la Nouvelle
Alliance) ne s’investissent
dans le Shabbat hebdomadaire que dans le cadre de
la deuxième proposition ?
Si après dix-sept siècles,
des Juifs et à plus forte raison des non Juifs disciples
de Yéshoua redécouvrent le
témoignage du Shabbat selon le calendrier divin, c’est
bien souvent en consé-
quence d’un appel individuel
intime, discret mais constant. Nous témoignons que
nous avons affaire dans ce
phénomène, bien que cela
soit écrit depuis des millé-
naires, à une véritable révé-
lation qui touche les cœurs.
C’est pour cette raison, entre
autres, que nous concluons
que la résurgence du Shabbat en milieu « chrétien » est
impulsée par le Souffle sacré (esprit).
Soyons précis : Nous parlons du Shabbat hebdomadaire messianique, et non
d’un culte qui n’intégrerait
pas le témoignage du Fils.
-Car s’il s’agissait de mimer
une pratique traditionnelle
juive vide du Mashiah Yéshoua et de la puissance de
Son sang versé à la croix,
nous serions alors hors du
signe de l’Alliance renouvelée.
-Mais s’il s’agit de se nourrir
aux racines israélites de la
Torah vivante qui est Yéshoua, et vivre le Shabbat de
D.ieu en toute liberté dans
sa dimension accomplie de
l’Alliance renouvelée au
Golgoltha, alors OUI. Cette
proposition dépend de la
révélation parfaite et achevée dans le Messie, elle est
un « signe » fort et identifiant, correspondant à
l’exigence prophétique de
notre époque, pour servir de
témoignage dans les desseins du Père.
Un signe entre Moi et
vous
« Certes vous garderez mes
Shabbats, c’est un signe
entre Moi et entre vous pour
vos cycles, pour comprendre, oui, Moi Je suis
Adonaï hvhy votre consécrateur. » (Exode 31 :13 Chouraqui)
De même à la fin des temps,
un signe explicite identifiera
les disciples de Yéshoua
fidèles à la volonté du Père :
ils seront les gardiens des
commandements de D.ieu
ET ils confesseront le Messie Yéshoua le Fils.
« Il (le dragon) s’en va faire
la guerre au reste de sa semence (de la femme), ceux
qui gardent les mitsvoth
(commandements) d’Élohim
et qui ont le témoignage de
Yéshoua » (Apocalypse
12 :17 Chouraqui)
Les Commandements sont
résumés par le Décalogue.
Ce dernier comprend un
commandement manifeste,
expressément visible par
tout un chacun, sur la terre
et dans les cieux, et qui est
un signe d’identification,
d’appartenance et de sens
… Ce n’est ni plus ni moins
que le respect du Shabbat.
Shabbat exhalant la bonne
odeur du témoignage du
Mashiah Yéshoua par le
sacerdoce renouvelé de la
communion à Son Corps et
à Sa Coupe jusqu’à ce qu’IL
vienne !
Appréhender cette nature du
Shabbat et y adhérer ne se
décrète pas, ne s’impose
pas, ni pour un Juif, ni pour
un non Juif. Elle se reçoit
dans le secret et l’intimité du
cœur, car Mon Shabbat dit
Adonaï hvhy sera un « signe
entre nous ».
Le Seigneur nous invite,
chez nous, en nous, il entre
et nous nous réjouissons
ensemble, car l’Époux du
Shabbat est présent … Sa
lumière nous illumine vraiment, Sa nourriture nous
élève de force en force véritablement ; de cela nous
pouvons aussi témoigner …
Et si nous voulons bien le
comprendre, chaque Shabbat nous fait vivre les arrhes
des noces de l’Agneau, annoncées en lieux célestes.
Signe de discorde ?
Les démêlés polémiques sur
le signe du « Saint Shabbat
d’Adonaï en l’honneur de
Yéshoua » ne sont pas prêts
de s’éteindre. Prétexte à
débat de partage dans un
esprit de paix et d’harmonie,
d’accord … mais prétexte à
imprécation et à condamnation, nous ne pouvons nous
y prêter.
Rappelons-nous plutôt les
sages paroles de Rabbi
Gamaliel :
« Si cette entreprise ou cette
œuvre vient des hommes,
elle se détruira ; mais si elle
vient de D.ieu, vous ne pourrez pas les détruire. Prenez
garde de peur de vous trouver en guerre contre D.ieu »
(Actes 5:38-39)
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Transmis par : Paty Caplan facebook.com
j'ai volontairement changé le mot "Dieu " Par Elohim et ajouté une image
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"LES DONS ET L'APPEL DE DIEU SONT IRREVOCABLES !
par Anne-Marie Antonietti, samedi 23 octobre 2010, 22:04 ·Selon la "théologie de remplacement", largement enseignée chez les Chrétiens, Dieu aurait rejeté Israël, qui ne serait plus le "peuple de Dieu" ; et l'Eglise serait devenue LE "NOUVEL ISRAEL".
Pourtant, les Textes sont très clairs, à ce sujet : Dieu affirme sans cesse à Israël :
« Vous êtes Mon peuple », « Je te choisis et ne te rejette pas » (Esaïe 41/9), « Je t’aime d’un amour éternel, c’est pourquoi Je te conserve Ma bonté » (Jérémie 31/3), « si ces lois (de la nature : soleil, lune, mer…) viennent à cesser, alors Je rejetterai toute la race d’Israël» (Jér 31/35), « Ne crains rien, car Je te rachète. Tu es à Moi » (Es 43), « Je t’ai gravé sur Mes mains » (Es 49/16)…
L'apôtre Paul aussi l’affirme, dans ROMAINS 11 :
"Dieu a-t-Il rejeté Son peuple ? Loin de là ! Car moi aussi, je suis Israélite, de la tribu de Benjamin. Dieu n'a point rejeté Son peuple, qu'Il a connu d'avance… si quelques unes des branches ont été retranchées, et si toi qui étais un olivier sauvage, tu as été greffé parmi elles, et rendu participant de la racine nourricière de l'olivier, ne te glorifie pas aux dépens de ces branches. Si tu te glorifies, sache que ce n'est pas toi qui portes la racine, mais c'est la racine qui te porte… Les dons et l'appel de Dieu sont irrévocables."
Nous, croyants chrétiens, avons été greffés « parmi » les branches juives, sur l’olivier de Dieu, qu’est Israël !
« Parmi », nous dit le texte grec ; et non « à leur place » comme il est écrit, de façon erronée, dans beaucoup de nos traductions, françaises et autres, de la Bible !
Alors, comment ne pas aimer les Juifs et Israël, notre tronc nourricier et nos racines ? Et… comment vouloir prendre la place de l’olivier ? Comment un greffon pourrait-il subsister, s’il rejette l’arbre sur lequel il est greffé, et refuse de se nourrir de la sève qui monte de la racine !! Comment grandir et porter du fruit, ou même simplement survire, en nous séparant de l’olivier et de ses racines, voire même en les haïssant ?
Et... comment pourrions-nous avoir confiance en Dieu -le Dieu d’Israël !- et baser notre vie sur la foi en Lui, s’Il promettait autant de fois, par serment, la bénédiction, un amour, une terre et une alliance éternelle avec un peuple, puis… changeait d’avis, annulait tout, et désignait d’autres bénéficiaires de Son choix, de Ses bénédictions, et de Sa terre ?
Heureusement (pour Israël et aussi pour nous !), le Dieu d'Israël est fidèle !
Israël peut Lui faire confiance ! Et donc, nous aussi !!
"Je t'aime d'un amour éternel ; c'est pourquoi Je te conserve ma bonté.
Je te rétablirai encore, et tu seras rétablie, Vierge d'Israël !..."
(JEREMIE 31.3)
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dimanche 14 octobre 2012This email contains graphics, so if you don't see them, view it in your browser. Newsletter de l'Assemblée
Beth Yeshoua
Shalom à tous,
Nous vous souhaitons un joyeux shavoua tov, une excellente semaine avec la présence de Yeshoua le Messie dans votre vie.
Psaumes 118:26 "Béni soit celui qui vient au nom de l’Eternel! Nous vous bénissons de la maison de l’Eternel."
Psaumes 129:8 "Et les passants ne disent point: Que la bénédiction de l’Eternel soit sur vous! Nous vous bénissons au nom de l’Eternel!"
Le Psaume 118:26 annonce la venue prochaine (retour) de Yeshoua HaMashiah, au milieu de son peuple. C'est alors que tout Israël reconnaîtra celui qu'ils ont percé.
Zacharie 12:9-10
En ce jour-là, Je m'efforcerai de détruire toutes les nations Qui viendront contre Jérusalem. Alors je répandrai sur la maison de David et sur les habitants de Jérusalem Un esprit de grâce et de supplication, Et ils tourneront les regards vers moi, celui qu'ils ont percé. Ils pleureront sur lui comme on pleure sur un fils unique, Ils pleureront amèrement sur lui comme on pleure sur un premier-né.Lorsque nous bénissons Dieu ou lorsque nous bénissons notre prochain, nous n'avons pas de puissance en nous-même pour bénir. Nous avons le pouvoir de maudire très facilement mais par contre pour bénir il nous faut plier nos genoux car la seule vraie bénédiction qui fait force de loi et qui a de la puissance est celle qui vient de Dieu et donc afin de l'obtenir de sa part pour nous-même ou pour les autres de notre part, il nous faut nous courber et nous humilierdevant sa Sainte Présence ! Et alors Dieu bénira. C'est du moins ce que l'hébreu révèle dans le mot barak :
Le mot barak ברך signifie bénir, à genoux, bénédiction, saluer, féliciter, maudire, offenser, outrage, heureux, adorer
Gloire à Dieu !
Les mois de septembre et d'octobre ont été riches en évènements avec comme sorte de coup d'envoi le traditionnel barbecue géant de la
communauté juive de Waterloo organisée conjointement avec le KKL et qui a été l'occasion aux organisateurs de signaler au Président mondial du KKL la participation active de Beth Yeshoua dans les activités.
Lorsque les évènements se précipitent au sujet de l'antisémitisme dans le
monde, certaines instances politiques cèdent sous l'insistance des organisations juives de Belgique. Ainsi, la Caserne Dossin à Malines a vu défiler, à côté des quelques rescapés de la Shoah (photo), la plupart des hommes politiques du Gouvernement belge accompagnant le Prince Philippe de Belgique, des ambassadeurs de différents pays pour honorer par des discours et par le salut au mémorial, la Mémoire des 26000 juifs qui avaient été déportés à Auschwitz avec le concours des autorités belges.
Les fêtes (Yom Terouah, Yom Kippour, Souccot, Simhat Torah) se sont déroulées dans la joie et nous avons un réel plaisir de réaliser pleinement que vous êtes plusieurs à avoir participer et à participer chaque semaine au culte avec nous via Internet. C'est quelque chose qui n'existait pas jadis mais aujourd'hui, par la grâce de Dieu nous sommes mutuellement en communion. Les différents fuseaux horaires nous séparent et ne permettent pas à tout le monde de participer (p.ex. la parasha du samedi matin à 11 h est difficilement accessible pour nos amis du Canada qui devraient se lever de très bonne heure (3-4h du matin?). Prions afin que Dieu nous donne les moyens de vous servir encore mieux.
Comme visiteurs nous avons eu entre autres, Robert Blancou, un enseignant juif messianique venu de France et qui nous a bénis par ses enseignements remplis de l'Esprit sur les origines de l'antisémitisme. Nous avons été touchés d'apprendre que Robert Blancou a été voir expressément Paul Ghennassia il y a quelques années afin de recevoir de sa part sa bénédiction. Pour Robert Blancou, l'autorité spirituelle de Paul Ghennassia était indéniable et sa bénédiction était pour lui comme une obligation morale.
A l'assemblée, la librairie propose à ses membres et aux visiteurs des cahiers d'études, livres, CD messianiques. Les responsables peuvent être joignables via l'adresse email librairie@bethyeshoua.org .
Le point sur les activités et sur les nouveautés à Beth Yeshoua
Activités à Beth Yeshoua
Réunions du vendrediDès 19h30, la réunion de Erev Shabbat (la veille du shabbat) se poursuit avec l'allumage des bougies en honneur de notre Dieu pour ce jour de repos qu'Il nous a donné. Le kidoush messianique (le partage fraternel de la hala et du vin) est offert à tous les présents.
Les sujets de prière englobent une majorité de points importants pour Israël (la protection des juifs dans le monde et en Israël, la vie sociale, politique et économique, le terrorisme, etc.). Fin de la réunion vers 21h45. Entrée libre.
Réunions du samedi
A partir de 11h jusque 13h, études de la parasha commentée parLucas Micciche (groupe Kineti) et par le pasteur Lorenzo Greco. Apportez au minimum avec vous votre Bible de quoi écrire, cahier, stylo. Il est permis et même apprécié d'apporter aussi vos concordances, dictionnaire d'hébreu, portable etc.
Cette parasha est diffusée en direct sur Internet sur Livestream.
Les organisateurs ne prévoient actuellement aucun enregistrement ni diffusion de ces commentaires ni par video ni par écrit. Nous vous tiendrons informés de l'évolution. Pour l'instant, si vous voulez bénéficier de ces parashot, soyez présents soit en personne soit par internet. Une messagerie instantanée (Chat) est aussi proposée afin de prendre note des différentes références bibliques, de répondre sommairement aux questions posées. La première parasha Bereshitétait très intéressante de sorte que cela vaut vraiment la peine de s'efforcer d'assister au Live en direct. Nous sommes désolés pour ceux qui n'ont pas le même fuseau horaire que nous.
Techniquement nous essaierons de prévoir des micros de table afin de pouvoir écouter les différents commentaires et questionnements du public présent. L'entrée est libre.
A 16h, le culte de shabbat se déroule comme prévu avec la louange, les prières d'adoration ainsi que la prédication de la Parole. Une yeshivah messianique est prévue pour enseigner les enfants dans les voies de Dieu et dans une perspective messianique. Entrée libre.
Une offrande est récoltée au culte de 16h. Quoi que libre, la participation aux frais via dons est instamment souhaitée.
Le site internet
Notre site vous propose quelques nouveautés comme la nouvelle section de la parasha disponible via le menu "Parasha". Le menu vous présente quelques notions de base sur ce qu'est réellement la parasha, quelques définitions et aussi la liste des différentes sections chapitres hebdomadaires. Afin de pouvoir suivre chaque semaine cette lecture biblique, il est impératif de s'y préparer pendant la semaine en lisant chez soi les différentes passages prévus. Le sitehttp://www.alecoledeyeshoua.com vous donne un aperçu du calendrier de la parasha avec les différentes lectures suivants rites juifs.
Je vous rappelle aussi l'importance de la prière pour nos frères juifs. Pour ce faire les sujets repris ici dans notre site le sont avec lesréserves d'usage. En effet, les demandes de prière particulières pour les besoins personnels des malades etc. seront dorénavant envoyés à ceux qui le demanderont expressément. Le site étant entièrement public, le contenu diffusé des sujets concernera exclusivement Israël. Chaque sujet concerne une partie de la vie d'Israël : vie économique, vie sociale, vie politique, terrorisme, ennemis, antisémitisme. Il est évident que ces prières se font toujours sous la direction complète de l'Esprit Saint. Les sujets sont donnés à titre indicatif mais il est important d'être unis devant Dieu.
Soutien - support
Nous vous rappelons que votre assemblée Beth Yeshoua ne peut fonctionner sans l'aide financière de ses membres. Par la grâce de Dieu, un soutien nous parvient depuis des années pour le fonctionnement des bureaux de Beth Yeshoua "La Voix de l'Israël Messianique" qui annonçaient pendant des années la Bonne Nouvelle sur les ondes radio, Radio Monte Carlo, Radio Luxembourg. Cette aide ne tient pas compte du fonctionnement de l'assemblée proprement dite, les loyers et les charges. Les dîmes que le Seigneur a prévues doivent servir à la Maison de l'Eternel. Pour ce faire, nous mettons à votre disposition un mode de paiement via Paypal .
Le Seigneur n'est débiteur de personne. Prenez à coeur cette Parole bien connue du prophète Malachie 3:8-11 "8 L'homme trompera-t-il Dieu? Car vous me trompez. Et vous dites: "En quoi t'avons-nous trompé? " Dans les dîmes et dans les offrandes. 9 Vous êtes frappés de malédiction, et vous me trompez, vous, la nation entière! 10 Apportez toutes les dîmes à la maison du trésor, et qu'il y ait de la provision dans ma maison; et éprouvez-moi en cela, dit l'Éternel des armées: si je ne vous ouvre pas les écluses des cieux, et si je ne répands pas sur vous la bénédiction sans mesure. 11 Et je détournerai de vous le rongeur; il ne vous détruira pas le fruit de la terre, et vos vignes ne seront point stériles dans la campagne, a dit l'Éternel des armées."
En attendant de vous proposer un mode de paiement par mastercard nous vous proposons aussi le paiement par virement :
Pour la Belgique : 001-4756263-41 Fortis Banque
Pour la France et l'Etranger:Paiement virement international :
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