• Lettre de nouvelles Lorenzo et Thérèse Greco - SEDER PESSAH

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    Assemblée Messianique Beth Yeshoua 
    239, Rue de Baume 7100 La Louvière 
    Tél.: 064/21.23.90 
    Contact : lorenzo.greco@skynet.be 
    therese.greco@gmail.com

    ***
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    Shalom,

    Le lundi 25 mars à Beth Yeshoua La Louvière nous avons célébré la fête de Pessah. Plus de 100 personnes étaient présentes pour commémorer le sacrifice de notre Messie Yeshoua. La fête de Pessah est très importante parce que Dieu l'a destinée à être une célébration de Yeshoua.

    "Faites disparaître le vieux levain, afin que vous soyez une pâte nouvelle, puisque vous êtes sans levain, car Mashiah, notre pâque, a été immolé, célébrons donc la fête...." (1 Corinthiens 5 : 7 ) 
    Le mot Pessah signifie passage et dans le livre d' Exode 12 : 21 nous voyons comment les enfants d'Israël badigeonnèrent du sang d'un agneau, le linteau et les montants des portes de leurs maisons afin que l'ange de la mort, voyant le sang, passe par-delà, pour les épargner de la mort du premier né.

    Notre fête commença par des chants d’allégresse, petits et grands nous étions envahis par l'onction de la Rouah Ha Kodesh.

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    Pour commencer la fête, avant l'explication du seder, une petite fille (Eleana) posa une question en hébreu à son papa : Mah nishtana halaila hazeh mikol-haleilot ? "En quoi cette nuit -ci se distingue-t-elle de toutes les autres ? Son papa lui répondit :Shebekhol haleilot anou ohlin hametz oumatzah, halaylah hazeh koulo matzah. "Toutes les autres nuits nous mangeons du hametz ( pain levé ) ou de la matzah alors que cette nuit-ci nous mangeons seulement de la matzah".

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    Le pasteur prit la parole pour décrire les coupes ainsi que le plat du seder placé au centre de la table, tous des éléments prophétiques qui revêtent une importance symbolique capitale. 
    Sur le plateau étaient placés :

    • des oeufs durs : symbole du coeur dur de pharaon ou symbole du temple détruit de Jérusalem
    • l'épaule d'agneau : la tradition juive a transformé progressivement l'épaule, soit en os, soit en cuisse de volaille. L'os est pourtant symbole de mort et non de vie. Il s'agit donc bien d'une épaule d'un agneau selon ce que dit le texte hébreu. "Qui a cru à ce que nous avons fait entendre, et à qui le bras de l'Eternel a-t-il été révélé ?" (Esaïe 53 :1). 
      ZEROUA signifie bien le bras ou plus exactement " l'épaule ", ce mot provient de la racine de ZARA " semer, planter " on parle donc bien du symbole représentant le Fils de Dieu : " la semence de Dieu " qui est bien sûr Yeshoua.

    • Le persil : symbole de l'hysope ( Exode 12 : 22 ) Et vous prendrez un bouquet d'hysope, et vous le tremperez dans le sang qui sera dans le bassin; et du sang qui sera dans le bassin vous aspergerez le linteau et les deux poteaux; et nul d'entre vous ne sortira de la porte de sa maison, jusqu'au matin. L'hysope est une plante qui croît dans les murs et qui à la longue détruit la plus forte muraille. Elle fait penser aux murailles de Jéricho détruites par le Seigneur. Le persil ou l'hysope représentent les herbes amères à cause de l'amertume du peuple en Egypte et aussi l'amertume du Mashiah à Gethsémané ( crise d'anévrisme, les vaisseaux du front éclatent sous l'énorme tension artérielle et le sang sort par les pores de la peau sous forme de grumeaux ). Le Père a donné à son fils la capacité de résister à une telle pression, insoutenable pour un homme normal, pour qu'il puisse aller jusqu'au bout, jusqu'à la croix : c'est l'amertume du Mashiah à Golgotha 5 "Mon Dieu ! Mon Dieu ! Pourquoi m'as tu abandonné ? Pourquoi m'as tu sacrifié ?" (Psaumes 22 : 1)

    • Le Maror aux herbes amères : symbole des égyptiens qui rendirent amère la vie des hébreux.

    • L'haroshet : symbole du mortier avec lequel les enfants d'Israël fabriquèrent des briques pour les égyptiens. Il est composé de dattes, de noix, de pommes, d'amandes.

    • L' eau salée : symbole des larmes de souffrances du peuple juif en esclavage.

    • Les coupes de vin : Il y a 5 coupes dont 4 coupes sont diluées avec de l'eau. Les 4 coupes représentent les 7 promesses faites à Moïse : ( Exode 6 : 6 - 8 ) C'est pourquoi dis aux fils d'israël, je suis l'Eternel, et je vous ferai sortir de dessous les fardeaux des egyptiens, et je vous délivrerai de leur servitude; et je vous rachèterai à bras étendu, et par de grands jugements; et je vous prendrai pour être mon peuple, et je vous serai Dieu; et vous saurez que je suis l' Eternel, votre Dieu, qui vous fais sortir de dessous les fardeaux des egyptiens. Et je vous ferai entrer dans le pays au sujet duquel j'ai levé ma main, pour ledonner à Abraham, à Isaac, et à Jacob, et je vous le donnerai en possession. Je suis l' Eternel.

    La première coupe : Melchisédech apparu à Abraham, représente le Messie.

    La deuxième coupe : Moïse - le sang sur le linteau et les poteaux des portes. Les enfants d'Israël prennent pour la première fois un repas - repos de liberté

    La troisième coupe : David dit : " J' élèverai la coupe des délivrances " . ( Psaumes 116 : 13 )

    La quatrième coupe : Lors de cette coupe, dans certaines familles on crie "Elie viens ! Elie viens ! Le chef de famille retourne ensuite à l'aphicomen : cela signifie : APHEC c'est le chef et COMEN veut dire viens - va venir : résurrection de Yeshoua : " je viens bientôt " . Ensuite il y a la bénédiction et puis la lecture " de combien de bienfaits de Dieu " et chacun répond après chaque énumération : " DAYANOU " puis à la fin on dit ASHREINOU " 
    On trempe le petit doigt dans le vin et à chaque énumération des fléaux de l' Egypte on secoue le doigt au dessus du plateau

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    La cinquième coupe de vin : elle est pure non diluée, elle était réservée pour le Messie. Personne n'osait y toucher. Seul Yeshoua l'a prise. C'est là que le kidoush messianique a pris naissance : 
    "Il prit de même la coupe, après le souper, et la leur donna, en disant : Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang, qui est répandu pour vous.(Luc 22:20)

    "23 Car j’ai reçu du Seigneur ce que je vous ai enseigné ; c’est que le Seigneur Jésus, dans la nuit où il fut livré, prit du pain, 24 et, après avoir rendu grâces, le rompit, et dit : Ceci est mon corps, qui est rompu pour vous ; faites ceci en mémoire de moi. 25 De même, après avoir soupé, il prit la coupe, et dit : Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang ; faites ceci en mémoire de moi toutes les fois que vous en boirez." (1 Corinthiens 11:23.)

    L' Aphicomen : Les trois Matsots : les trois matsots sans levain enveloppées dans une serviette sont appelées une unité. Ceci représente l'unique unité de Dieu (Père, Fils et Esprit Saint ). A ce moment du seder, le père rompt la Matzah centrale qui représente Yeshoua. Le fait de la rompre ainsi, symbolise sa mort. Une moitié de la matzah est enveloppée dans un linge et cachée sous un coussin, ce qui représente la mise au tombeau de Yeshoua. Ce morceau est appelé l' Aficoman (Le chef vient). Le père enferme l'autre morceau dans la serviette. Les juifs du monde entier, aujourd'hui, suivent toujours ce rite ancien.

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    Ces éléments typiques d'une célébration de la Pâque ont pour but de nous faire revivre le miracle de Dieu. En goûtant ces aliments, nous nous souvenons de la cruauté et la souffrance de l'esclavage en Egypte. Nous goûtons l'amertume de l'oppression, mais nous nous rappelons que Dieu nous a libéré.

    Cela a été un moment très particulier lors de notre célébration de Pessah. 
    Remplis d'émotions par le fait de se retrouver tous ensemble, commémorer le sacrifice de notre Messie YESHOUA, se souvenir de la souffrance du peuple d'Israël, tout cela nous donne cette hatikva du retour proche de notre MESSIE. 
    A lui soit toute la gloire.

    Lorenzo et Thérèse Greco

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    D'autres photos sont disponibles sur notre site

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  • Lehem-hahaim-Psaume 22:19 La force de Dieu détruit la malédiction du péché

    Écrit par Super Utilisateur on 24 juillet 2011. Posted in Pensées messianiques pour notre temps-Lehem HaHaïm

    Le Pain de Vie

    La pensée

    messianique du jour

     

    Psaume 22:19 - La Force de Dieu détruit la malédiction du péché  

    Dimanche 24 juillet 2011

    « Eternel, Toi qui es ma force »

    Israël est vivant ! L’hébreu est vivant. 

    Un jugement officié par un juge en fonction a force de loi. Ce qui est découle devient immuable. Une prononciation officielle en bonne et due forme a des conséquences que personne ne pourra jamais plus changer. La Bible nous apprend que "... par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort, et qu’ainsi la mort s’est étendue sur tous les hommes, parce que tous ont péché,…" (Romains 5:12)

    Peu importe que nous soyons convaincus ou non de sa gravité, pour Dieu le péché doit être condamné. C'est immuable d'autant plus que le péché a comme conséquence la mort éternelle. "Car le salaire du péché, c’est la mort; mais le don gratuit de Dieu, c’est la vie éternelle en Yeshoua le Messie, notre Seigneur" (Romains 6:23).

    On dit de l’hébreu biblique qu’il est une langue à tiroir qui renferme des richesses extraordinaires. Cette langue n’a pas d'équivalent parmi les autres langues. La structure grammaticale ainsi que la signification des mots sont basées sur la racine verbale, « tri »-litère. Sur le plan typologique face à cette langue, nous trouvons ainsi le chiffre trois qui parle de la « tri » -unité d'ELOHIM (Dieu) et le chiffre sept qui dénote sa perfection. En d'autres termes, Elohim se révèle à travers l'hébreu.

    L'hébreu est la langue de la révélation.

    C’est en hébreu (ou araméen dialecte hébraïque ou hébreu retranscrit en grec) que la Bible entière a été écrite. C'est la langue que Yéshoua et ses disciples ainsi que les prophètes parlaient. C'est une langue « à tiroirs », pleine de richesses cachées dans les mots et les lettres.

    L'Apocalypse ou Révélation parle d'un « Etre » assis sur le trône, ayant dans la main droite un Sefer (un livre rouleau) écrit « en dedans et en dehors », scellé de « sept sceaux... » (Apocalypse 5 : 1). Ces mots en dedans et en dehors montrent déjà combien chaque lettre ou mot peut exprimer, en plus de ce qu'on lit, des pensées profondes de l'Esprit de Dieu. D'ailleurs, la suite est significative dans ces versets : 

    « ... Qui est digne d'ouvrir le livre et d'en rompre les sceaux et personne dans le ciel, ni sur la terre, ni sous la terre ne put ouvrir le livre ni le regarder... Voici, le lion de la tribu de Juda, le rejeton de David a vaincu pour ouvrir le livre et ses sept sceaux. » (Apocalypse 5 : 2 à 5).

    La Parole de Dieu écrite, présente sans cesse le Messie Yéshoua, Parole de Dieu incarnée et révélée au milieu de son peuple d'Israël : ce qui fut le cas il y a 20 siècles par sa première venue et sera le cas à son prochain retour à Jérusalem.

    Il y a un plan mathématique dans la Bible ; il semble que la signature divine soit le chiffre sept ou un multiple de sept. Par exemple, dans la première phrase de la Bible : « Au commencement Dieu créa les cieux et la terre... Béréshit bara Elohim eth ha'shamaïm véeth haarets » on trouve 7 mots et 28 lettres (multiple de sept).

    Les savants israéliens qui avaient découvert à l’aide d’ordinateurs dans les textes hébreux de la Bible des codes secrets, déclarent : « Cette découverte est un coup mortel porté à la critique biblique rationaliste et à l'athéisme... nous avons maintenant la preuve que la Bible est bien d'inspiration divine ».

    En tant que croyants et lecteurs assidus de la Bible, même sans les ordinateurs nous le savions déjà ! Pour ceux qui connaissent l'hébreu biblique, il y a de merveilleuses et étonnantes découvertes ; par exemple, le psaume 119 est en acrostiches avec 176 versets qui reflètent par groupe de 8 lettres au début de chaque verset les 22 lettres de l'alphabet hébraïque ! Il y aurait tant à dire sur ce sujet ; on pourrait en écrire un livre. Cela explique pourquoi le Tout Puissant s'est servi de l'hébreu pour porter au monde son message de rédemption. 

     

    Le chiffre 22 dans la tête 

    Le nombre des 22 lettres de l’alphabet hébraïque est fort symbolique et typologique. 

    Dans notre Foi, nous savons que Celui qui nous gouverne Yeshoua HaMashiah Ben Elohim est la tête (Rosh) et Il est notre Messie, le Seigneur le Fils de Dieu.

    En biologie, on peut remarquer que le nombre d’os qui constituent la tête de l'homme est de 22  : 8 pour le crâne et 14 pour la face.

    Certes, cela vaudrait la peine d'analyser plus en détail la relation d'une part entre le nombre de lettres de l'alphabet hébraïque et la fonction de chacun des os du crâne. Peut-être une relation existe-t-elle aussi - qui sait - par rapport à la restauration d'Israël, des os desséchés de l'Etat d'Israël prophétisé par Ezéchiel au chapitre 37. Quoi qu'il en soit, la tête humaine, nous le savons représente la tête du corps de l'église et le corps humain représente le corps du Messie "corps de Christ", la famille des croyants unis autour du Sauveur Yeshoua. Comme le hasard de Dieu l'a fait, c'est sur une montagne appelée "le lieu du crâne" que la Rédemption éternelle et définitive de toute l'humanité a été payée et validée par la signature de Dieu. "Tout est accompli" au niveau du péché.

    D'autre part on a dans la Bible : 

     Les 22 chapitres de l'Apocalypse de Jean, totalisent 405 versets.

     Les psaumes alphabétiques dont les vers (Ps 111 et 112), strophes (Ps 37 et 119) ou versets (Ps 145), sont désignés par chacune des vingt-deux lettres hébraïques.

     C'est le nombre de lettres de l'alphabet qu'on retrouve dans le Pentateuque.

     La chronologie des Patriarches, d'Adam à Jacob, comprend 22 noms.

     La durée du règne de Jéroboam fut de vingt-deux ans. (1 R 14,20)

     Les exégètes ont remarqué qu'il y a dans la Bible 22 mots qui n'ont pas de parallèles en dehors du Nouveau Testament. Vers 1850, une grande quantité (environ 1600) de mots du NT et de l'AT grec n'étaient attestés nulle part ailleurs. Entre 1950 et 1980, grâce aux découvertes de papyrus, de manuscrits, d'inscriptions, le nombre de mots non attestés par ailleurs est passé de 46 à 22.

     Sur les 39 livres de l'Ancienne Alliance (AT), Yeshoua en cite 22. 

    La force de Dieu 

    Le passage du verset 19 du psaume 22 nous dit :

    « Et toi, Eternel, ne t’éloigne pas! Toi qui es ma force, viens en hâte à mon secours! » (Psaume 22 :19)

    Lorsqu’il écrit ces passages, David le psalmiste, peut-être sans le savoir est à nouveau un instrument de la révélation de secrets étonnants en ce qui concerne le sacrifice sanglant du Messie qui l’a rendu fort pour détruire les œuvres du diable.

    Car il est bien évident que c’est de cela qu’il s’agisse : par la puissance de Yeshoua, Fils de Dieu, descendu des Cieux, incarné dans la chair, la puissance du péché a été abolie. Mais cette puissance a du lui être donnée, non pour Lui-même pour être délivré de la croix, mais pour briser la malédiction de notre péché. 

    De prime abord, lorsqu’on demande à Dieu de ne pas s’éloigner de nous, on va lui demander de nous réconforter puis d’intervenir. Ici la demande est en fait une déclaration : « Tu es Ma Force ». 

    Ce n’est qu’après cette déclaration victorieuse, que l’on peut invoquer Dieu en Lui demandant de venir rapidement répondre à notre attente. 

    L’Eternel qu’Il implore par les mots « ne t’éloigne pas » s’est éloigné de Lui, Il a banni son propre Fils en se détournant de Lui ; pire : « en prononçant » contre Lui un jugement il s’est détaché de Lui. Quand Dieu dit, la chose existe. Sa Parole est créatrice. Lorsque Dieu « prononce » contre son Fils, Sa Parole ne peut être enlevée ni lui revenir sans avoir accompli ses effets. Son Fils a reçu sur Lui la prononciation d’un Arrêté Royal : un jugement, une condamnation irrévocable.

    « Eloigné » Rachaq  רחק est une racine primaire éloigné, distance, éloignement, loin, se détourner, autant, se détacher, reculer, bannir, prononcer. 

    L’expression eyalouthi  אֱיָלוּתִי « ma force » ou « mon secours »  vient du mot eyalouth אֱיָלוּתִ  et ce mot que l’on retrouve aussi dans le Psaume 88 vient de la racine eyal  אֱיָל « force, aide » 

    « Je suis mis au rang de ceux qui descendent dans la fosse, Je suis comme un homme qui n’a plus de force » (Psaume 88:4)

    Le bélier du sacrifice 

    Ce mot eyal vient de ayil אֱיָל « bélier, poteaux, vestibules, térébinthes, chênes, vaillants, encadrement ». 

    « 1 Au chef des chantres. Cantique des fils de Koré. 2 Comme une biche (ayil) soupire après des courants d’eau, Ainsi mon âme soupire après toi, ô Dieu! (Psaumes 42:1)

    Ce bélier est considéré soit comme une nourriture soit comme un sacrifice. Il sert aussi à la peau pour le tabernacle. 

    Ce mot signifie aussi « piliers, poteaux, vestibules, frontispice »  allusion aux montants de la porte sur lesquelles du sang devait être mis et aux mezouzot qui sont placées sur les montants des portes de toutes les maisons juives dans le monde.

    Le sang placé ainsi sur les portes nous annonce la venue du Sauveur, un Messie puissant un « homme fort », « grand », « vaillant », « puissant », « arbres puissants », « térébinthes », « chênes », « frontispice (de la porte) ».

    Ce mot vient de oul  אֱולּ d’une racine du sens de tordre avec force, être fort, grands, corps; prééminence du corps, prééminence du ventre (méprisant), nobles, hommes riches.

    A partir du moment où le bélier du sacrifice est en vérité le Fils de Dieu annoncé dans le Psaume 22, il n’y a plus besoin aujourd’hui d’offrir des sacrifices pour le pardon des péchés.

    "Or, là où il y a pardon des péchés, il n’y a plus d’offrande pour le péché."(Hébreux 10:18)   

    Un combat victorieux contre le péché accompli sur le mont du crâne 

    L’apôtre Paul va plus loin encore en déclarant qu’avant la venue du Fils de Dieu, il existait une autre « force » : celle du péché qui était comme un « aiguillon » qui nous faisait glisser vers la mort éternelle. Etonnante déclaration que celle où la loi est nécessaire pour dévoiler le péché.

    « L’aiguillon de la mort, c’est le péché; et la puissance du péché, c’est la loi. » (1 Corinthiens 15:56)

    Lorsque le psalmiste appelle « viens en hâte à mon secours! »  et à nouveau se cache derrière ces mots une révélation.

    Housh חוש est une racine primaire de équiper, tarder, promptement, se hâter, se contenir, courir, en hâte, jouir, accélérer, fondre.

    La curiosité réside dans l’expression traduite de l’hébreu « fondre sur une proie »

    « Viens hâte » pourrait vouloir dire « viens m’aider à fondre sur la proie du péché, du diable et de ses œuvres ». On retrouve aussi le verbe « équiper ».

    En plus du mot secours azar  עזר la racine primaire donne aussi combattre, protecteur, soutien, contribuer.

    Il est donc bien question ici de remporter une victoire pour détruire la malédiction et la condamnation du péché.

    Gloire à Dieu !
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  • Le shabbat, le jour de repos désiré et ordonné par Dieu est un sujet de controverse pour certains chrétiens.

    concernant le shabbat .. étude et accompagnée d'un commentaireIl est vrai que quand on essaye de comprendre l'histoire du christianisme, on est obligé de repasser en revue les origines et les conséquences constantiennes du concile de Nicée. Le rabbi Paul Ghennassia, devant la constante et décevante réaction de certains chrétiens disait d'un ton un peu désabusé "et bien admettons que le shabbat ait été donné aux juifs et le dimanche aux chrétiens, grâce à cela, nous avons deux jours de repos au lieu d'un seul ! AMEN !" Rendons grâce au Seigneur pour cela. Il n'empêche qu'au départ, le shabbat a bien été donné le samedi et non le dimanche et Dieu ne se repent pas de ses dons et de ses appels. Tout ce qu'il fait est pour un but. Pourquoi attacher de l'importance à quelque chose qui, d'apparence n'en n'a que très peu selon l'argument "dans le Messie, le shabbat est tous les jours"? C'est ce que nous tenterons de montrer en regroupant déjà pour commencer les différentes études de Paul.

     

    Dans la première étude "UN CODE SECRET... AU DEBUT DE LA BIBLE HEBRAÏQUE !"

     la relation est faite directement avec le peuple d'Israël. Si les chrétiens s'évertuent à penser que le samedi n'est pas pour eux le jour du Seigneur, ils devraient alors se couper et se détacher de l'olivier sur lequel ils supposent avoir été greffés. Douglas S. Winnail dit qu' en 1996, le Parlement européen fit passer une loi appelant les Etats membres à respecter le dimanche – une loi qui n’a pas encore était imposée. Cependant, le Pape Jean-Paul II continuait à insister sur l’importance de l’adoration du dimanche. L’observance forcée du dimanche au lieu du shabbat biblique, le septième jour, serait l’accomplissement d’une autre prophétie – un chef religieux des temps de la fin, qui aura l’intention de “changer les temps et la loi” (Daniel 7 :25). L’observance du dimanche, imposée par une loi, pourrait devenir la marque de la bête que l’apôtre Jean mentionne dans Apocalypse 13 :16-18 !

     

    Le Shabbat

    Les versions chrétiennes de la Bible utilisent le mot "sabbat" mais nous préférons employer le mot correct "shabbat". En hébreu, la différence est de taille.

    V se prononce S et  Sse prononce "CH". Lire l'étude Shiboleth ou Siboleth ? Un dangereux défaut de langue ! 

    Shabbat  repos, cessation d’activité. Jour du repos divinement  institué pour tous les hommes.

    Origine.

    Selon le récit de la création, Dieu se reposa au 7e jour de toute son œuvre; il bénit et sanctifia le 7e jour.

    Genèse 2:2-3

    Le terme Sabattu se trouve en cunéiforme sur les tablettes babyloniennes;  il semble désigner un jour néfaste et s’applique aussi bien au 14e, 19e, 21e et 28e jour du mois lunaire qu’au 7e jour. De toute façon, les Babyloniens avaient une "semaine" de 5 jours. Si le roi devait s’abstenir de certaines choses lors du "shabbat", les autres Babyloniens continuaient à  travailler.

    - Certains contrats de travail découverts à Mari, sur l’Euphrate, montrent aussi que les gens de Mari travaillaient de façon continue, sans rompre le 7e jour.

    - Ainsi le shabbat israélite n’est pas d’origine mésopotamienne. De plus,  il n’est pas lié aux phases de la lune. Le roi en ces jours-là, devait s’abstenir de certaines actions. On voit combien une telle conception est éloignée du shabbat israélite, qui n’était d’ailleurs aucunement lié aux phases de la lune.

    Institution et but.

    La 1ère mention de l’institution pour Israël d’un 7ème jour de repos, consacré à l’Eternel, se trouve dans Ex. 16.23-30. Cette ordonnance fut aussitôt après incluse dans le 4e commandement du décalogue, avec le rappel exprès de la cessation de l’activité créatrice le 7ème jour (20.8-11; 31.13-17). Dieu s’est arrêté en considérant et en bénissant toute l’oeuvre  accomplie; l’homme est appelé à participer à cette bénédiction et à interrompre aussi son travail, en ce jour sanctifié. Le repos du shabbat est ainsi lié à l’accomplissement entier de l’oeuvre de l’homme: "Tu travailleras 6 jours et tu feras tout ton ouvrage."

    - D’autre part, selon Dt. 5.15, le shabbat rappelle la délivrance de l’esclavage de l’Egypte: le peuple peut se réjouir de la liberté que lui a accordée la puissante main de Dieu. Tous doivent avoir part à ce repos: parents, enfants, serviteurs, étrangers, et même les bêtes de somme (v. 14) Le shabbat devient un signe particulier de l’alliance perpétuelle conclue par le Seigneur avec Israël. Ex 31.13, 16-17

    Observation du shabbat.

    1. Le décalogue défendait de façon générale de faire aucun ouvrage ce jour-là. Ex 20.10

    La loi spécifie qu’on ne doit pas allumer de feu dans les maisons, car les repas seront préparés la veille (35.2-3). Le fait de ramasser du bois est considéré comme une violation du shabbat, et les transgresseurs sont punis de mort. Nombres 15.32-36 de même, il est interdit de transporter des fardeaux. Jér 17.21-22

    On considéra ensuite que voyager le jour du shabbat était contraire à Ex.16.29, et qu’il n’était pas davantage permis de trafiquer Ne 10.31-32; 13.15-21; Am 8.5

    2. Le shabbat était le jour consacré à l’Eternel  Ex 16.23; 35.2

    On devait immoler dans le sanctuaire 2 agneaux, en plus de l’holocauste perpétuel des jours ordinaires. Nombres 28.9-10, 13

    Les 12 pains de proposition étaient renouvelés chaque shabbat  Lév 24.5-8; 1Chron 9.32

    Le shabbat était ainsi compté parmi les jours de joie d’Israël. Nombres 10.11  (cf. Os. 2.13)

    Le peuple devait en faire ses délices, pour chercher particulièrement en ce jour-là, à accomplir la volonté du Seigneur, le sanctifier, le glorifier et l’honorer; l’homme pieux avait alors à coeur de ne point suivre ses penchants ni ses propres voies. Isa 58.13

    Il était béni, sanctifié par sa recherche de Dieu, et proclamé heureux (56.2, 4-6; Ez. 20.12, 21).

    Légalisme en réaction à Antiochus

    C’est surtout après l’Exil que l’observation du shabbat devint d’un légalisme extrême. Antiochus Epiphane, le roi persécuteur de Syrie, avait cherché à en interdire la célébration (1 Macc. 1.45, 52; 2 Macc. 6.6). Mais les Israélites fidèles, s’étant révoltés sous la direction des Maccabées, n’en furent que de plus stricts observateurs.  

    Au début de la guerre, les Juifs pensaient ne pas avoir le droit de se défendre le jour du shabbat. Les hostilités commencèrent par le massacre de 1000 patriotes juifs et de leurs familles. Les survivants résolurent de se tenir sur la défensive si l’ennemi les attaquait pendant le shabbat, mais de ne point passer à l’offensive ce jour-là (1 Macc. 2.31-41) même si cette attitude favorisait l’avance des païens. Plus tard, lors du siège de Jérusalem, Pompée éleva durant le shabbat des terrasses et des béliers. Les Juifs ne ripostèrent pas. Dès que le jour du repos eut pris fin, les Romains percèrent les murailles (Ant. 14.4.2 et 3).

    A l’époque du Mashiah

    Les Pharisiens émettaient des prescriptions ridicules à propos du shabbat, interdisant même des gestes de miséricorde, et combattant Yeshoua parce qu’il opérait des guérisons le 7e jour. Or les Pharisiens ne regardaient point comme illégal le sauvetage d’un boeuf, d’un âne, d’une brebis le jour du shabbat, jour où les Juifs ne manquaient pas d’abreuver leur bétail. Mt 12.9-13; Lu 13.10-17

    Les Pharisiens ne s’opposèrent pas seulement aux guérisons, mais aussi à la cueillette fortuite de quelques épis par les disciples de Jésus, un jour de shabbat. Le Seigneur déclara alors:

    "Le shabbat a été fait pour l’homme et non pas l’homme pour le shabbat"  Mr 2.23-28

    Cycles shabbatiques.

    En plus du 7e jour, des périodes régulières étaient consacrées au repos, à l’adoration de l’Eternel, à la proclamation de la liberté. Il y avait: le 1er jour du 7emois Lev23.24-25 dans ce même mois, le 10e jour (v. 27, 32), et à partir du 15e jour, une semaine qu’on passait sous les tentes (v. 39-41); une année shabbatique chaque 7e année  Ex 23.10-11; Le 25.2-7, 20-22; De 15.1-4; 31.10 pendant laquelle la terre elle-même devait se reposer, et les créanciers accorder un relâche à leurs débiteurs; tout Israélite tombé en esclavage recouvrait sa liberté. Enfin le jubilé avait lieu la 50e année, après 7 cycles d’années shabbatiques. A la fin de la 49e année, on sonnait de la trompette pour proclamer l’année de grâce  Le 25.8-16   v. Jubilé.

    On a quelques témoignages historiques concernant l’observance de l’année shabbatique: le pacte conclu à l’époque de Néhémie  Ne 10.32  la 150e année de l’ère des Séleucides, c.-à-d. 164-163 av. J.-C. (1 Macc. 6.49, 53; cf. Ant. 12.9.5); la 178e année des Séleucides, en 136-135 av. J.-C. (Ant. 13.8.1; Guerre 1.2.4); le décret de César exemptant les Juifs de payer le tribut pendant l’année shabbatique (Ant. 14.10.6; cf. Tacite, Hist. 5.4); l’année 38-37 av. J.-C. (Ant. 14.16.2; 15.1.2); et l’année qui précéda la chute de Jérusalem, 68-69 ap. J.-C. Voir aussi Ant. 11.8.5 pour l’époque d’Alexandre le Grand.

    - La captivité était prédite parmi les malédictions; pendant ce temps la terre d’Israël allait jouir des shabbats dont elle avait été frustrée  Lev 26.34-43

    Jérémie prophétisa que Dieu châtierait l’idolâtrie du peuple par la ruine du pays et l’asservissement d’Israël à Babylone, durant 70 ans Jer 25.7-11

    L’auteur des Chroniques confirme que la violation de la Loi et la profanation du Temple attirèrent sur les Juifs, comme Jérémie l’avait prédit, l’exil de 70 ans à Babylone et que pendant cette période la terre d’Israël jouit de ses shabbats et se reposa  2Ch 36.14, 16, 20, 21

    Le shabbat et la Nouvelle Alliance est cité p.ex. en Col 2.16; Heb 4.4 pour indiquer sa signification spirituelle et typologique. Ces 2 passages disent que nous devions voir en lui une image du repos de la foi que nous avons en Yeshoua HaMashiah. Sous la Nouvelle Alliance, tout notre temps appartient à Dieu. Aussi personne ne doit-il être jugé pour l’observation d’une fête, d’une nouvelle lune ou de shabbats. Col 2.16

    Dans les premières années de l’Eglise chrétienne, certains croyants faisaient encore des distinctions entre les jours, tandis que d’autres les estimaient tous égaux Rom14.5

    Paul ne veut pas que ces divergences nuisent à l’esprit fraternel. Cependant il était normal que l’observation légale du 7e jour fasse place au repos constant en Yeshoua HaMashiah, dont le repos hebdomadaire était une ombre. Col 2.17

    Ceux qui croient entrent dans ce repos Heb 4.3, 9, 10

     

    Ceux qui croient entrent dans ce repos Heb 4.3, 9, 10 car ce ne sont plus eux qui agissent, c’est le Seigneur qui agit en eux et par eux, et cela tous les jours de la semaine.

    Selon les commandements de Dieu il est plus que souhaitable de se reposer le samedi (le 7ième jour) et non le dimanche (le 1er jour de la semaine) qu’afin d’avoir les loisirs voulus pour fréquenter le culte  Heb 10.25 et en vue d’un bon équilibre physique, les croyants chôment le samedi, jour du Seigneur et ce, à partir du vendredi soir jusqu'au samedi soir. Cependant ce n’est pas ce chômage qui leur permet d’observer chrétiennement le 4e commandement. La vraie obéissance à cet ordre de Dieu consiste à vivre tous les jours dans le repos spirituel de la foi décrit dans Hbr. 3 et 4.

    Pour lire le texte Le kidoush messianique annuel du seder de Pessah et la fraction du pain hebdomadaire

     
      

    Commentaire de Marcel .M.
    Bonsoir Maty

    Je pense que le texte que tu as joint est clair:  

     Dans l'absolu et si possible, à mon avis il serait préférable de se reposer le jour du Shabbat, le Samedi, le 7éme jour de la semaine, pour un témoignage envers les Juifs et selon la Parole. Mais comme aussi tous les jours sont en Yéchoua' un nouveau Shabbat pour les croyants, car Il est notre Shabbat, notre repos, donc tous les jours sont les mêmes aussi, et sont jours de Shabbat en Lui  
     

    Nos frères anciennement musulmans qui vivent en Afrique du Nord doivent eux se reposer le Vendredi !  

     

    Maintenant on pourrait aussi parler du Dimanche comme non pas le premier jour de la semaine, mais comme le huitième jour , celui de la nouvelle création après le millénium, mais cela devient trop complexe, donc en conclusion pour nous Juifs et non Juifs en Yéchoua', tous les jours c'est Shabbat, mais si cela était possible, je choisirai le Samedi comme jour de repos et de culte comme en Israël, mais le Dimanche c’est ok pour moi aussi ! Il ne faut pas se soucier de cela vraiment dans la Nouvelle Alliance, selon ce qui est écrit !  


    Dieu te bénisse  

     

    Marcel 

    transmis par : Rarél Brebis Rarél le 5 Avril 2013

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  • Peut-on prendre le Pain et le Vin en dehors du repas du Seigneur ?

    Suite à la fête de PESSAH j'ai pu voir en divers commentaires que ça serait pas correct ni biblique de le faire ?

    Peut-on prendre le Pain et le Vin en dehors du repas du Seigneur ?
    Je ne parle pas de jour précis ni de Dimanches mais de le faire dans la liberté selon que le Seigneur conduira.

    1 CORINTHIENS 11.23
    Car j'ai reçu du Seigneur ce que je vous ai enseigné; c'est que le Seigneur Jésus, dans la nuit où il fut livré, prit du pain,
    11.24
    et, après avoir rendu grâces, le rompit, et dit: Ceci est mon corps, qui est rompu pour vous; faites ceci en mémoire de moi.
    11.25
    De même, après avoir soupé, il prit la coupe, et dit: Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang; faites ceci en mémoire de moi toutes les fois que vous en boirez.
    11.26
    Car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu'à ce qu'il vienne.
    11.27
    C'est pourquoi celui qui mangera le pain ou boira la coupe du Seigneur indignement, sera coupable envers le corps et le sang du Seigneur.
    11.28
    Que chacun donc s'éprouve soi-même, et qu'ainsi il mange du pain et boive de la coupe;
    11.29
    car celui qui mange et boit sans discerner le corps du Seigneur, mange et boit un jugement contre lui-même.
    11.30
    C'est pour cela qu'il y a parmi vous beaucoup d'infirmes et de malades, et qu'un grand nombre sont morts.
    11.31
    Si nous nous jugions nous-mêmes, nous ne serions pas jugés.
    11.32
    Mais quand nous sommes jugés, nous sommes châtiés par le Seigneur, afin que nous ne soyons pas condamnés avec le monde.
    11.33
    Ainsi, mes frères, lorsque vous vous réunissez pour le repas, attendez-vous les uns les autres.
    11.34
    Si quelqu'un a faim, qu'il mange chez lui, afin que vous ne vous réunissiez pas pour attirer un jugement sur vous. Je réglerai les autres choses quand je serai arrivé.

     

     verset 26 :

     (" Faites ceci en mémoire de moi toutes les fois que vous en boirez ".)
    Je comprends ici qu'il est possible et biblique de le prendre

    (" LE PAIN ET LE VIN")..

    En souvenir, mémoire du sacrifice accompli par le Seigneur ...

    "Ne pas oublier qu'il s'agit de La Coupe de la délivrance en Son Sang verset 25 "

    " Mais que par contre le repas du Seigneur se fête une fois l'an" à la fête de PESSAH.

    Yeshoua Hamashia prit le dernier repas avec ses disciples le soir de PESSAH et institua les symboles de la nouvelle et dernière alliance en Son Sang (MATTHIEU 26.26-28)

    (1 CORINTHIENS 11.26-28)

    LES PAINS SANS LEVAINS NE FONT DONC PAS PARTIE DE

    (" LA COUPE ET DU PAIN ") .


    LEUR SIGNIFICATION  C'EST EN MÉMOIRE DE LA SORTIE D EGYPTE ("pour celles et ceux qui pensent devoir la  faire la fête des pains sans levain.")

    Mais quand au texte de 1 Corinthiens 11 v 26  il dit bien ceci :

    Verset 26 Car toutes les fois que vous mangez "ce pain "et que vous buvez cette " coupe" , vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu'à ce qu'il vienne.

    ALLELUYAH

    Shalom

     

    Rarèl Brebis Rachel

     

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  •  “Mon grand-père m’a dit que nous étions juifs et que nous devions quitter l’Egypte.” pub2011
       

    blog-tsahalCe n’est pas la première fête de Pessah que le caporal Dinah Ovadia, autrefois appelée Roulin Abdallah, passe en Israël. Depuis plusieurs années, elle se réjouit de pouvoir passer les fêtes en terre promise. Mais pour en arriver là, elle a dû abandonner derrière elle des souvenirs douloureux de son enfance en Alexandrie afin de laisser place au présent.

    Dinah n’a que 22 ans. La dernière fois qu’elle a vu sa confortable demeure en  Alexandrie elle n’était qu’une adolescente de 15 ans. De son ancien nom, Roulin Abdallah, elle passe désormais le plus clair de son temps à servir son pays, Israël, dans l’unité du Porte-parole de Tsahal.

    “En classe, on m’a toujours regardé comme le petit vilain canard. Quelqu’un de différent. Les questions du type pourquoi je m’habille de cette façon ou encore pourquoi je parle avec tant de liberté à mes parents étaient monnaie courante,” dit-elle en hébreu riche avec une légère touche d’accent arabe sur sa langue.

    “Je n’avais aucune appartenance religieuse. Ni au christianisme ni à l’islam. Je n’ai jamais su ce que j’étais vraiment. Mes parents n’étaient pas pratiquants alors j’ai supposé que j’étais chrétienne.”

    tsahal-dina-2

    Ni musulmane, ni chrétienne, ni juive

     

    Dinah commence d’abord par chercher à comprendre son identité religieuse.

    “Quand j’étais encore qu’une fillette, je fréquentais une école musulmane. En grandissant j’ai étudié le Coran. Il y avait une mosquée près de l’école où les élèves avaient l’habitude de prier. Etant curieuse, je suis allée à la mosquée avec eux. Cette initiative a déplu à mes parents et ils m’ont interdit de continuer… J’étais fâchée, je me disais qu’à cause d’eux je n’aurai jamais d’amis.”

    Avec le temps, Dinah commence à réellement apprendre le Coran et à mémoriser des versets. Puis on exige d’elle qu’elle commence à mettre le voile mais elle refuse…car la petite fille qu’elle est ne trouve pas ce vêtement esthétique. Tous ces changements obligent ses parents à la placer dans une école chrétienne où elle se sent plus libre.

    “Des salafistes armés sont entrés dans la maison et ont tiré sur les hommes”

    Le tournant a lieu lors d’une journée comme les autres. Dinah étudie dans sa chambre pour son interrogation d’histoire. Son frère et son cousin jouent à l’étage. Sa mère, sa tante et sa sœur sont dans le salon. Soudain, des cris et le son d’éclats de verres viennent briser le calme.

    “J’ai eu très peur. J’ai pensé que l’on nous en voulait parce que nous sommes différents.”

    “Je suis allée dehors et là, j’ai vu cinq hommes masqués, des salafistes. Cinq hommes barbus en robe, munis de matraques et de fusils en bandoulière sur le dos. Ils ont brisé la porte d’entrée de la maison et ont exigé de voir les hommes de la famille. Je ne comprenais pas ce qu’il se passait. Ils disaient que nous étions juifs.”

    “D’habitude tout étranger est juif. Je pensais qu’ils se trompaient. Ils sont entrés dans la maison et ils ont jeté ma mère au sol lorsqu’elle a dit que les hommes n’étaient pas présents.”

    “J’ai commencé à crier pensant qu’ils avaient tué ma mère. Deux des cinq hommes sont ensuite montés à l’étage et ont commencé à tirer des coups de feu en direction de mon frère et de mon cousin. Par miracle, personne n’a été blessé. Ils nous ont donné quelques jours pour partir.”

    “Régulièrement ils faisaient des tours de voiture autour de la maison en tirant des coups de feu. Je pense que si cela devait se reproduire aujourd’hui, nous serions tous morts.” 

    “Mon grand-père m’a dit que nous étions juifs et que nous devions vite quitter l’Egypte”

    Quelques jours plus tard son grand-père rassemble sa famille et révèle la vérité.

    “Il a expliqué pourquoi il nous a empêchés de pratiquer d’autres religions, nous a dit que nous étions juifs et que nous devions vite quitter l’Egypte. Les enfants étaient excités, mais pas moi.”

    “Je me suis mise à pleurer et j’ai été déçu par mon grand-père. Je lui ai dit que je ne voulais pas aller habiter dans un Etat de mauvaises personnes.”

    “A l’école contrairement, j’ai toujours appris la haine des Juifs et des Israéliens. Durant la deuxième intifada  je me rappelle que je regardais la télé et je me disais que les Israéliens sont mauvais. Je suis même allée à des manifestations pro-palestiniennes. Je pleurais lorsque j’entendais des histoires comme celle d’Al-Dura.”

     

    “Mon grand-père m’a répondu qu’ils ne sont pas mauvais et que nous devons comprendre que c’est ce qui arrive en temps de guerre. Mais pour moi les juifs étaient mauvais.”

    Durant son dernier mois en Egypte, Dinah tente de comprendre où sont passé tous ses amis. “Une bonne amie, qui était également ma voisine m’a tourné le dos lorsqu’elle et sa famille ont appris que nous étions juifs. C’est à ce moment que les paroles de  mon grand-père ont pris leur sens. Malgré le fait que nous ayons grandi ensemble, la rumeur concernant mon appartenance religieuse m’a transformée en paria. Dans ma tête je savais que les Juifs étaient mauvais, mais moi, je savais que je n’avais rien fait, je ne pouvais donc pas être mauvaise.

    “J’ai compris que l’Egypte n’était plus le bon endroit pour moi.”

    La sortie d’Egypte

    Loin d’être un jour de joie, sa sortie d’Egypte est teinté de tristesse à cause du refus de ses anciennes amis de lui adresser la parole.

    Il y avait en moi, beaucoup de haine, et j’ai réalisé que je n’avait plus rien à faire ici. Mon oncle, que je croyais parti en France était en fait dans l’armée israélienne et nous attendait. Nous avons quitté notre domicile avec seulement quelques vêtements. J’ai vu mon amie, ma voisine, qui me regardait par sa fenêtre. Je pensais qu’elle viendrait me dire au-revoir. Au lieu de cela elle a claqué ses store d’un geste brusque.

    “J’ai réalisé finalement que je n’étais plus à ma place, comme si c’était l’Egypte toute entière qui a fermé ses stores devant motsahal-dina

    Apres un long vol pour Istanbul, puis vers Tel Aviv, Dinah se retrouve subitement dans un pays qu’elle ne connais pas et qu’elle craint.

    “J’ai eu peur, quel genre de personnes allaient nous accueillir ?”

    Lorsque je suis descendue de l’avion, j’ai vu des gens sourire, mes oncles et le reste de ma famille m’attendaient. Je ne comprenais pas la langue, mais je me sentais heureuse, et quelque part le rejet de mes amis m’a donné la force, la force de changer. “

    Jérusalem est devenue leur nouvelle maison et Dinah a commencé à étudier dans une école religieuse. Son intégration ne s’est pas faite sans obstacle.

    “Un jour, j’étais dans le couloir de l’école et l’une des filles a dit : voilà l’arabe. Un accueille désagréable, mais j’ai connu pire”, admet-elle.

    “Je voudrais retourner en Egypte avec l’uniforme de Tsahal”

    Après avoir achevé sa scolarité et un premier travail au ministère des Affaires étrangères, Dinah commence son service militaire en tant que journaliste radio avant d’être ensuite mutée à la police militaire et d’intégrer finalement les rangs de l’unité du porte-parole de Tsahal.

    Quand je suis arrivée et j’ai vu ce qu’allait être mon travail, j’ai été très heureuse. Montrer le vrai visage de l’armée israélienne, et dire la vérité au monde, c’est ce que je voulais. L’Opération Pilier de Défense a eu un énorme impact sur le public. Nous nous sommes battus pour dire la vérité. Depuis, nous recevons des commentaires et des messages du monde musulman, de l’Arabie saoudite et de l’Egypte.”

    Aujourd’hui, Dinah s’occupe des nouveaux-médias en arabe de l’armée israélienne. Sima, sa sœur la rejoindra dans les mois qui suivent. Quant à son frère, il sert dans une unité d’élite del’armée de l’air.

    “Je voudrais retourner en Egypte en uniforme, pour leur montrer que nous ne sommes pas des tueurs, que nous ne sommes pas mauvais et que mon rôle et celui de mes camarades est de protéger notre maison, notre pays.”

     

    http://tsahal.fr/2013/03/27/pessah-sortie-egypte-israel-tsahal-porte-parole/#more-22400

     

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    7 Reponses to ““Mon grand-père m’a dit que nous étions juifs et que nous devions quitter l’Egypte.” Pessah des temps moderne”

    1. angele valenti dit :

      QUELLE BELLE REUSSITE, EN ISRAEL…..>>POUR DINA & SA FAMILLE;
      MAZAL TOV,VOICI UN BEL EXEMPLE POUR CEUX QUI NE SONT PAS ENCORE
      DECIDES A S’INSTALLER DANS NOTRE MERVEILLEUX PAYS……

    2. korine 15 dit :

      Vraiment DINAH a reussi un exploit extraordinaire, et je lui souhaite de tout coeur beaucoup de Chance, Joie et Santé dans cette Vie et dans ce Beau Pays, avec ces êtres merveilleux qui le formons!

    3. betty L dit :

      QUI N’a pas connu l’antisimitisme ne peu pas SAVOIR MAZEL TOV

    4. CHEN dit :

      Une belle histoire pour cette famille qui a refait sa vie sur la terre d’Israël. Ils ont sauvé leur vie de justesse, car comme le dit Dinah, aujourd’hui avec l’anarchie qui règne, ils seraient tous morts.

    5. simonviolet dit :

      c’est la fameuse hospitalité égyptienne, à coups de matraques et de fusils

    6. Tamara dit :

      On aurait cru à un fait datant de dizaines d’années ; tout peut arriver même aujourd’hui !!!!!!!!!!!!!!!!!Tamara

    7. meller danielle dit :

      toute personne doit penser qu elle est sortie d Egypte et Dina a eu sa sortie d Egypte

       

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  • " Ne courrons pas après la grande Laodicée."
     
    " Ce qui compte c'est de marcher "conduits par SOn Esprit "" Ne courrons pas après la grande Laodicée."
    par Rarèl Brebis Rachel (Articles), jeudi 7 juin 2012, 20:12
     
     

    " Ne courrons pas après la grande Laodicée."

     

    Si Yeshoua "frappe à la porte", c'est qu'IL est A L'EXTERIEUR... et qu'il y a donc un "autre Jésus" à l'intérieur" !

    Le "petit reste" est dans Philadelphie, celle qui a "peu de puissance" mais qui a "gardé Sa Parole".

    C'est la seule "église" (Kehila) à laquelle il n'est fait aucun reproche et à qui il est promis d'être "gardé au travers de l'épreuve qui vient sur le monde entier". 

     

    Par P O C 

     

     

    Lettre à l'Église de Philadelphie

     

    < Apocalypse 3:7-13 >

     

    7Écris à l'ange de l'Église de Philadelphie: Voici ce que dit le Saint, le Véritable, celui qui a la clef de David, celui qui ouvre, et personne ne fermera, celui qui ferme, et personne n'ouvrira:

    8Je connais tes oeuvres. Voici, parce que tu a peu de puissance, et que tu as gardé ma parole, et que tu n'as pas renié mon nom, j'ai mis devant toi une porte ouverte, que personne ne peut fermer.

    9Voici, je te donne de ceux de la synagogue de Satan, qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui mentent; voici, je les ferai venir, se prosterner à tes pieds, et connaître que je t'ai aimé.

    10Parce que tu as gardé la parole de la persévérance en moi, je te garderai aussi à l'heure de la tentation qui va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre.

    11Je viens bientôt. Retiens ce que tu as, afin que personne ne prenne ta couronne.

    12Celui qui vaincra, je ferai de lui une colonne dans le temple de mon Dieu, et il n'en sortira plus; j'écrirai sur lui le nom de mon Dieu, et le nom de la ville de mon Dieu, de la nouvelle Jérusalem qui descend du ciel d'auprès de mon Dieu, et mon nom nouveau.

    13Que celui qui a des oreilles entende ce que l'Esprit dit aux Églises!

     

     

    Version Chouraqui L'Apocalypse faîte à Jean - Chapitre 3

     

    7 Au messager de la communauté de Philadelphie, écris : "Il dit ceci, le sacré, le véridique, celui qui a la clé de David. S'il ouvre, personne ne ferme ; s'il ferme, personne n'ouvre.

    8 Je connais tes oeuvres. Voici, j'ai donné en face de toi une porte ouverte que personne ne peut fermer. Malgré ton peu de dynamisme, tu as gardé ma parole, tu n'as pas renié mon nom.

    9 Voici, je donne, de la synagogue du Satân, ceux qui se disent être Iehoudîm ; ils ne le sont pas, mais ils mentent. Voici, je les fais venir se prosterner à tes pieds et pénétrer que moi je t'aime !

    10 Parce que tu as gardé la parole de mon endurance, moi aussi je te garderai à l'heure de l'épreuve, celle qui va venir sur l'univers entier pour éprouver les habitants de la terre.

    11 Je viens vite ! Maîtrise ce que tu as pour que personne ne te prenne ta couronne.

    12 Le vainqueur, j'en ferai une colonne dans le sanctuaire de mon Elohîms ; il n'en sortira jamais. J'écrirai sur lui le nom de mon Elohîms, et le nom de la ville de mon Elohîms, la nouvelle Ieroushalaîm, qui descend du ciel de mon Elohîms, et mon nom, le nouveau.

    13 Qui a des oreilles, qu'il entende ce que le souffle dit aux communautés".

     

     

    — Icône Jean L'Evangéliste —

    — Monastère de l'île de Patmos — Chemal (République de l'Altaï) —

    — Pas de copyright à la condition unique d'indiquer la source de cette page —

    — Document personnel — Gérard Colombat — 4/08/2008 —

    Source: http://www.bibleetnombres.online.fr/apocalyp.htm

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